Commentaire de norbert gabriel
sur Retraites « Mon fils, ton avenir, je m'en branle ! »
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Tiens donc ; dans ces années-là, on a vu pas mal de gens commencer à parler d’écologie, pour penser aux générations futures, ce qui les fait traiter de quasi demeurés irréalistes, et de cassandres irresponsable par les gens « sensés » et pragmatiques.
Si vous considérez que ces pré-écolos étaient des tenants du « après moi le déluge » nous n’avons visiblement pas les mêmes approches.
Pour l’arrogance, votre prose est un exemple édifiant du relais des discours sarkosistes sur 1968. Venant d’un « libéral » très décomplexé, c’est assez savoureux... ou désespérant.
Derniers commentaires
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22/06 22:39 - JacquesLaMauragne
Ma réponse à moi, qui suis RETRAITé : http://lamauragne.blog.lemonde.fr/2010/06/22/pourquoi-je-desc
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Avant de parler de partage, il y a deux chiffres qu’il faut mémoriser. Le premier, (...)
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Tiberius, vous ne regardez que par le petit bout de la lorgnette, vous n’évoquez que la (...)
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18/06 13:00 - xray
Pour payer les retraites, y a pas d’argent, on vous dit ! Lorsque la Pologne a intégrée (...)
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18/06 10:43 - Tiberius
Ça n’a rien de sorcier ni de particulièrement aléatoire de calculer quelle sera la part (...)
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18/06 10:19 - Lucien Denfer
Bonne remarque Même si c’est une bonne chose d’y être le 24, on peut présumer que (...)
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