C’est marrant, mais les états qui marchent (la chine) ne sont pas vraiment des exemple de « libéralisme ». Un état qui ne s’immisce pas dans la vie de ses citoyen, c’est un principe qui nie les réalités.
Oui, on est plus efficace à plusieurs que seul. Le chacun pour soit n’a jamais rien généré de grand pour l’humanité. Toutes les grandes améliorations technologique sont issue de collaboration massive, et souvent plus ou moins forcées par les circonstances.
Mais je suis d’accord avec vous pour dire que le socialisme est mort. Tué par l’individualisme. Et donc, avec lui, l’occident est condamné. Les USA mourront aussi, sauf s’ils utilisent leur puissance militaire pour vivre au dépend des plus faibles. Mais ce ne sera en rien une preuve de la réussite du libéralisme, mais bien une preuve de l’efficacité du militarisme et du colonialisme (pour les colonisateur uniquement, cela va sans dire), ce qui n’est pas nouveau.
Les USA sont en faillite, l’Europe est en faillite, le Japon est dans une situation catastrophique par contre, la Chine ne l’est pas (totalitarisme, et la bureaucratie, en Chine, ils connaissent), L’Amérique du sud ne l’est pas (Chavez est il un libéral qui s’ignore ? Ou Lula ?)
Nos nations ont été trahie. Par nos entrepreneurs à qui nous avons accordé bien trop de responsabilité et de confiance, et qui ont bradé les résultats de nos efforts contre des broutilles. En délocalisant, en donnant notre technologie (des bien collectifs) contre des biens personnels, en echappant à l’imposition.
Se baser sur la croissance n’est pas un principe fondateur du socialisme. C’est une nécessité si on veut continuer à imposer la liberté d’entreprendre. C’est cette liberté qu’ilfaut contrôler, il faut que le peuple reprenne le contrôle des entreprise qu’elle crée. Il faut qu’on arrête de croire que quelques pseudo sauveur sont ceux qui créent les richesses dans ce bas monde, ils ne font que les concentrer dans leur poche. Mais c’est le peuple, dans sa grande majorité, qui crée les richesse.
La liberté de propriété est un moyen de répartir les richesses et d’optimiser leur utilisation. Un moyen simpliste qui montre jour après jour ses limites. Comme beaucoup de chose qui sont « naturelles » pour les libéraux, ce n’est qu’une simplification extrême qui ne correspond pas à la réalité.