Caroline Fourest sur France Culture (merci Hanoho)
« Intriguée,
raconte
aussi Caroline Fourest, une militante laïque marocaine de passage à
Paris est allée demander la raison de cette occupation à l’un des hommes
de la mosquée. Il lui a répondu que Dieu leur avait demandé de faire de
la pub pour l’islam. »
Bondy Blog
Quand
j’évoque la possibilité d’un apéro conjoint, où les boissons et les
plats, halal et non halal, cohabiteraient, la réponse est unanime : « C’est pas possible, ça ne se fait
pas, on mélange pas, c’est tout. »
Enquêtes et débats
Mohammed M. (1), d’origine algérienne, vit ici depuis le début des
années 1960 : « Ce n’est pas le vendredi mais le samedi matin que
les Maghrébins viennent de banlieue acheter leur couscous aux
grossistes. Les gens qui viennent le vendredi viennent car la mosquée de
la rue Myrha est politiquement marquée. Et ils s’y reconnaissent. C’est
aussi le cas de la mosquée de la rue Polonceau. Traditionnellement, au
bled comme en ville en Orient, les mosquées sont des lieux de
convivialité et de sociabilité : si vous débarquez sans connaître
personne, vous vous y ferez des amis ; si vous avez faim, vous pourrez y
manger… Mais ce n’est pas ce qui se produit en France de nos jours. La
montée de l’islam politique a imprimé ici un caractère idéologique. Tous
les vendredis, les mosquées sont des forums, des points d’accumulation
de rapports de force. »
Tous « islamophobes fascistes » ?