L’auteur "Mes amis Arabes et Africains, tant ceux qui sont allés en France que
ceux qui regardent la télévision, ne comprennent pas d’ailleurs la
tolérance des Français, pour ne pas dire le laxisme, vis-à-vis des
délinquants et sont pour la plus part partisans de mesures radicales
que je n’oserais envisager moi-même.«
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Entièrement d’accord.
Un jour, en regardant à la télé des violences en banlieue Lyonnaise et alors que je rendais visite à des amis en France, un élu présent crut bon de me montrer son côté »compréhensif« .
Il trouvait que ces jeunes gens avaient des problèmes, qu’ils vivaient dans un milieu pauvre, etc. et que, donc, il fallait les comprendre au lieu de les matraquer.
Il est resté sans voix quand je lui ai dit : »Monsieur, en Algérie, un tel comportement aurait entraîné un châtiment encore plus sévère. Les policiers de là-bas ne peuvent pas être accusés de racisme et de toutes façons, une enfance malheureuse n’est pas une excuse pour foutre la merde".
Il m’a trouvé facho.
J’en ai bien rigolé mais je lui ai quand même rappelé que cette population était spéciale. Qu’elle était le produit de la France. Qu’elle n’avait rien à voir avec les traditions, les moeurs ou la culture des pays d’origine. Que des supporters qui sifflent la Marseillaise ont fait honte à tout un pays. Que les algériens et même tous les peuples des pays ex-colonisés ne s’abaisseraient jamais à être aussi mal élevés. Que c’était aux français de gérer cette plaie.
Les flics algériens auraient fait un carton parmi ces petits cons. Ça je vous le garantis.