Ce quartier est une poudrière, la faute à Bariani et Charzat qui ont pratiqué une politique de logement social de type concentrationnaire. Je connais trop bien ce quartier puisque j’y travaille, dans l’insertion notamment depuis plus de trente ans.
Le communautarisme encouragé par des élus et bobos inconscients, la délinquance des petits caïds encouragée par le laxisme de la justice, produisent maintenant leurs effets.
Jusqu’ici les racailles, cons mais pas téméraires, se tenaient à l’écart du territoire asiatique, par crainte de leurs représailles aussi imprévisibles que décisives.
Encouragés par le laxisme ambiant, les racailles s’attaquent dorénavant à tout le monde sans distinction. Le soir, du côté de la rue Ramponeau, des gamins africains de 10 à 12 ans, livrés à eux mêmes, traînent dans les rues jusqu’à pas d’heure, lançant des graviers sur les véhicules ou contemplant le spectacle de leurs grands frères rackettant les bobos et les touristes du coin. Pas joli joli comme vitrine du quartier...
A côté des racailles, il y a aussi le risque d’affrontement entre communautés religieuses.
De ce point de vue, Il semble bien que la Mairie du XXème ait cédé à la logique du communautarisme sur la base d’idéaux vaseux. Elle finira un jour par sacrifier la moins problématique à l’autre. Il suffit de constater la montée des commerces hallal de Belleville à Ménilmontant et les youyous et cadillac bling bling devant la Mairie aux premiers beaux jours