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Commentaire de Franz Ferdinand Von FritzenSouchern

sur Dieudonné : mea culpa !


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En effet cher M. Perseus, le sage serpent édénique guide sans cesse mes pensées : une chose qu’il m’a apprise est qu’un serpent périt dés lors qu’il ne peut changer de peau…de même que les esprits qui ne changent point d’opinions…Ainsi donc instruit par cette reptile et antique sagesse, prends-je garde à changer peau et pensées le plus souvent, de peur de ne finir sec et flétri …

 

Sur ce, je suis certain que vous entendrez cher M. Perseus que de ne point parler de soi est sans nul doute la plus noble des hypocrisies…  smiley




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