Cette incompatibilité fondamentale entre la loi issue et contenue dans l’Islam (la Charria), qui est une loi « divine », et la loi civile française, qui est une loi démocratique, apparait chaque jour davantage.
C’est cette incompatibilité majeure que les partisans de l’Islam ont été les premiers à remarquer et à souligner en réclamant, à l’occasion d’affaires juridiques récentes, le changement de nos lois démocratiques ou, pour le moins, en réclamant d’être exonérés du respect de nos lois démocratiques en ce qui les concerne.
On a pu constater de plus que cette contestation de nos lois s’est concentrée sur les droits des femmes et sur le droit matrimonial et ce n’est probablement pas un hasard. Il faut dire que le droit islamique est particulièrement rétrograde dans ce domaine particulier du droit des femmes.
Nous n’avons sans doute pas fini de buter sur cette incompatibilité qui sera la source de conflits innombrables qui ne manqueront pas, selon moi, de déboucher sur un problème politique.
En attendant, nous nous acheminons lentement mais surement vers une situation où les autorités musulmanes seront mises en demeure de déclarer publiquement leurs soumission à la loi Républicaine, à l’image de ce qui a été demandé en son temps (et sans ménagement) aux autorités religieuses chrétiennes et judaïques.
Ce sera le TEST. Et tout porte à croire qu’une majorité de musulmans résidents en France échoueront à ce test et se déclareront hors la loi française.
Alors il faudra résoudre le conflit politiquement, ce qui ne sera pas simple, mais chacun doit s’y préparer en ce moment même.