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Commentaire de Professeur Eckhart Von Treelok

sur La participation à un culte est facultative


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Professeur Eckhart Von Treelok Professeur Eckhart Von Treelok 28 juin 2010 21:39


Figurez vous que plein de personnes comme Marc Gélone sur ce fil, et il y en a d’autres, tempêtent quand on leur parle d’apport du monde musulman à l’Europe, alors qu’il fallait simplement renverser le raisonnement et s’en glorifier comme signe d’ouverture d’esprit, qu’apprendre des autres est un signe de curiosité et de dynamisme

 

J’entends très bien cet argument Pr. Nicolas, et je vous renvoie aux travaux du célèbre bonobo-gastrologue Hépatis de Mesclun qui a établi dans son célèbre traité Omniphagia Zooropéa un lien évident entre l’omniphagie intellectuelle zooropéenne et l’hyperconsommation de gorets !

 

Etonnant, non ? Mais Hépatis de Mesclun voit une corrélation directe entre cette ouverture d’esprit, curiosité et dynamisme zooropéen et ces créatures roses qui en dépit des préjugés divers et variés à leur encontre sont non seulement propres (avec une attention particulière pour la préservation de leur épiderme) mais aussi connu pour leur hypercuriosité groinique et leur vive intelligente ( pré-boudinaire bien entendu !), sans compter bien entendu leur nature omnibouffaire : bref le goret : une bestiole sensible au soleil, pragmatique et curieuse : typiquement zooropéenne smiley . Chacun connaît la charge symbolique du sanglier et autres bestioles groinées chez les paillards Gaulois.

 

Et c’est ainsi qu’Hépatis de Mesclun en arrive à cette conclusion, où retournant la célèbre formule « on est ce que l’on mange » dit « on mange ce que l’on est  » : la suite de son essai étant un peu plus controversée, (Hépatis de Mesclun étant connu pour son porcinocentrisme affirmé) puisqu’il tente d’établir entre nature grégaire des biquettes, moutons et bœufs les raisons du sous-développement chez les non-zooropéens. ce qui me semble autant contredit par les traditions oléïstes et moussakistes de Zoorope Méridionale que par la variété des cultures non-zooropéennes qui par leurs passif historique elles ont démontré que même dans le mouton ou le bison tout est bon !


( entre parenthèse, ses travaux sur les Eglises Entrecôtistes laissent aussi un peu à désirer.)

 

Moi-même n’ayant jamais conçu que la barbacophagie chez les zômos bonobo se suffisait à elle-même pour expliquer les évolutions différentes voir divergentes dans la longue histoire bonobaine.

 

Sur le repli chez les tao-sojaïstes et kung-fuîstes bambouéens, une des raisons aussi fut la conviction que rien ne saurait dépasser soja et bambou et que le reste du Monde n’avait rien à apporter à l’Empire du Milieu qui se concevait comme ayant atteint l’excellence : bref hypernombrilisme sojaïque. Pour les Sushistes nippons, disons que la logique fut un peu la même, sans compter leur extrême nippocentrisme, toujours d’actualité !

 

Professeur Eckhart von Treelok,

 phD en Métaphysique acrobatique du Tube et Gérontochiatrie rectale, Enseignant-chercheur en Théorie de la Turpitude à l’Université de Barvard ( Etat de Xanadu) 

Professeur honoris causeur à l’Université Alma Mateur de Shitazuwang (province de Sushi Oriental), titulaire d’une chaire en physique des condoms à l’Université Populaire et Socialiste de Vodkagrad ( Oblast de Zubrowka)

 

 

 

 


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