@ Xa,
Bon, il semblerait que les actualités me donnent raison : la fraude est avérée et les collusions d’intérêts douteux sont constituées.
Sur le développement du capital, il est nécessaire de par les frais de gestion (voir d’entrée et de sortie) d’avoir un minimum de développement du patrimoine ne serait-ce que pour avoir des rentrées d’argent minimum et par conséquent de ne pas l’entamer. A ma connaissance, les sociétés fiduciaires ne sont pas gratuites et nécessitent un investissement permanent en dehors même d’autres frais potentiels.
Sur les conditions de demande d’aides, je pense qu’il ne faut pas oublier l’aspect politique d’un état important sur un autre. Bien évidemment une collusion ou une corruption préalable rend cette option irréaliste. Je tiens à différencier l’évasion fiscale ( délit non constitué en Suisse) et la fraude fiscale ( délit reconnu en Suisse). Maintenant je peux imaginer que le riche client sera traité avec tous les égards nonobstant l’origine des fonds mais est-ce bien légal ?
Sur les conditions d’installation en Suisse, tout est relatif : la partie germanique semble plus accueillante ( j’ai failli me faire alpaguer par deux entreprise là-bas alors que j’ai déjà un travail ici) que la partie française. Bien évidemment, je ne suis pas né dans la confédération et par conséquent ne connais pas toutes les subtilités indigènes.