Je crois que vous oubliez
l’essentiel sur le pouvoir de la prétendue répartition : c’est une
machine à fabriquer du conformisme politique, sans aucun doute la
machine la plus efficace qui soit sorti du cerveau des gangsters
sociaux.
La perspective terrorisante (et c’est bien du terrorisme)
d’une vieillesse sans ressources ou même simplement sans jouissance
(ah, jouir...) est le levier qui mobilise la foule politique.
Car le travail de la pseudo-répartition a agit aussi au cœur du
social : la famille (qu’il est de bon ton de haïr) a été détruite par
tous les bouts, par l’éducation dite nationale qui retire la
responsabilité de l’éducation aux parents, et par la répartition qui a
crée une classe d’égoïstes.
Et arrive ce que prévoyait Tocqueville, une foule d’individus mus par de basses passions, tous seuls face à l’État, leur maître.
------------------------
Hé, sérieusement, t’es sacrément
atteint toi. Je ne comprends rien à tes éructations sinon que tu tentes
désespérément de taper en dessous de la ceinture.
Apprend à t’exprimer, à mettre en italique les propos que tu reprends, et peut-être que on pourra discuter.
Peut-être, parce que tu me gaves grave.
------------------------
Jadooore le style du Péripate. Le style tout court quoi.
Sur le fond c’est vrai que la dépendance est un axe très intéressant pour analyser l’absolutisme social. En revanche pas sûr que la famille (obligatoire) soit un truc qu’il faille trop regretter. La cellule familiale peut rapidement devenir une cellule tout court, non ?