1922-1930 : dans le capitalisme américain, Henri Ford est un cas à part.
Installé à Detroit, il a publié « Le Juif international », violent
pamphlet antisémite. Il commence à financer un agitateur allemand qui
fait parler de lui à Münich : Adolf Hitler. Une partie du groupe
Rockefeller le rejoint ensuite, suivie par la Royal Dutch britannique,
qui confie les financements à un proche de Winston Churchill, un certain
Deterding. Ces capitalistes anglo-américains joignent leur financement à
trois entreprises allemandes en pointe dans le financement du
national-socialisme : AEG, IG Farben, Vereinigte Stahlwerke. Il est à
noter que le banquier Warburg, figure centrale de la haute finance
juive, fait partie alors du directoire d’IG Farben, et ne s’oppose
nullement à ces financements. On lui connaît des liens avec Rathenau, le
juif converti antisémite ultrasioniste, qui finit assassiné dans des
circonstances troubles.
Certain ricains ne sont pas aussi respectable que les soldats US !
Ford est l’étranger avec la plus haute décoration allemande et Hitler disait de lui que c’était son meilleur ami en regardant son portrait dans son bureau.
Qu’il est agit de concert avec Rockfeller grand adorateur de l’eugénisme encore aujourd’hui est certain et, avec la relation amour-haine des Rotschild’s (Warburg’s cul et chemise avec eux à la FED comme par hasard) sionistes (donc pas en opposition avec le déplacement des juifs) pour la domination anglosaxonne du monde, vous avez le comment du pourquoi.