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Commentaire de Serpico

sur Le Canada me fait peur


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Serpico Serpico 4 juillet 2010 15:41

Il y a de quoi avoir peur du Canada :

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 Mme Amal. B est d’origine algérienne, elle vit un drame depuis sa séparation avec son ex-conjoint converti à l’islam, elle a été répudiée en pleine audience. Elle a obtenu la garde de son enfant en 2006. Son ex-conjoint n’étant pas satisfait du verdict, il est passé par la DPJ pour lui enlever l’enfant à l’effet qu’il serait autiste. D’autres spécialistes consultés par la mère ont infirmé le diagnostic de l’autisme et conclut a un simple retard de langage.

Arraché à sa mère depuis deux ans, à l’âge de 4 ans, l’enfant est dans une extrême détresse et la DPJ a décidé de le médicamenter depuis 8 mois au RISPERDAL (un dangereux et puissant psychotrope) appelé dans le jargon médical (LA PILLULE DE L’OUBLI, LA CAMISOLE CHIMIQUE). Mme Amal. B est en appel de la décision à la cour supérieure depuis juin 2009. LA DPJ a tout fait pour bloquer son appel.

Les frais d’avocats payés par Mme Amal. B s’élèvent à ce jour à 80 000$, épuisée matériellement et moralement. Mme Amal. B n’arrive plus à travailler, son unique souci est de délivrer son fils de cet enfer.

Mme Amal. B est frappée de violence institutionnelle, elle a été condamnée le 25 mai dernier à verser à son ex-conjoint la somme de 19 000$, le but de cette condamnation est de museler cette mère et l’empêcher de poursuivre son recours en appel pour délivrer son fils qu’elle voit sous supervision 2 heurs par semaine.

L’enfant ne réagit plus aux petits mots d’amour que lui dit sa mère lors de ces visites. Mme Amal. B n’a pas le droit de parler à son fils dans sa langue maternelle, elle n’arrive pas à capter son attention avec des mots d’amour qui autrefois le faisaient rire (Karmoussa ! Kermousti ! habibi ! etc..)

Pour la mère, c’est une manière de rassurer son fils, de vérifier son état de conscience et lui rappeler des moments tendres passés avec sa maman ; soumis au Risperdal depuis 8 mois, l’enfant ne réagit plus, il ne parle pratiquement plus, il a perdu ses acquis de langage et de communication, les pupilles dilatées, le regard hagard, complètement désorganisé, il semble même ne plus reconnaitre sa mère. 


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