Bonjour,
après le dur constat de Gabriel, il n’y a plus grand chose à dire de plus. Mais vous dites : " Par exemple, Gilles Carrez estime que le déficit public aurait été de
3,7 % du PIB en 2009 au lieu de 7,5 % si les baisses d’impôts depuis
2000 n’avaient pas eu lieu (ou si elles avaient été compensées par
d’autres recettes, par exemple). " En fait, c’était un désir populaire de voir leur retenues baisser pour augmenter leur pouvoir d’achat. Mais consécutivement à la baisse effective des impôts, c’est l’euro et les commerçants qui en ont largement profité pour envoyer encore un tour de vis aux prix censés être libre et concurrents.
Un bon exemple, plusieurs marques de cigarette décident en même temps de baisser leurs prix européens. Qui c’est qui est pas contente, c’est Roseline Bachelot qui veut encore augmenter la taxe sur le tabac !! Cette réaction complètement hirsute va encore accroitre la différence entre les prix hors de nos frontières alors que des familles font déjà cinq cent bornes en voiture pour craquer leur maigres payes ou allocations, acheter leurs clopes et faire le plein de diésel... !!
Si on taxait plutôt la bêtise humaine, nos gouvernants et décideurs à eux seuls rempliraient les caisses avec 3 % de bénéfice annuel... !!