• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Aurélien Péréol

sur Je t'aime, je t'a(b)ime


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Orélien Péréol Aurélien Péréol 12 juillet 2010 19:36

à Sylvain Reboul (et à cathy 30)

Une des caractéristiques de la perversité de cette attitude d’ostracisme est que la victime est énoncée comme victime mais le bourreau jamais ou presque jamais.

Donc il est aisé de dire que celui qui s’y reconnait à des raisons de s’y reconnaître, qu’il se désigne et qu’on a donc peut-être bien fait de viser tout le monde sans dire qu’on visait qui que ce soit.
C’est le principe de la perversité, (le renversement, l’inversion).

Pas d’essentialisme dans mon texte, ni dans ma pensée.

J’appelle à un féminisme partagé, qui construit une égalité et je dis que la dénonciation des hommes, la plupart du temps calomnieuse et dissimulée, ne conduit pas à cette égalité, ce que je regrette.


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès