Tiens ça faisait longtemps, ce petit télégraphiste de la dictature castriste...
On comprend en tout cas mieux qu’avec de tels enseignants, l’université française produise des hordes de chômeurs aux diplômes totalement dévalorisés...
Cuba a le potentiel pour être un pays riche où la population peut voyager et profiter d’une situation géographique de rêve. Mais c’est une grande prison où des gens formés doivent se contenter de salaires de misère (15 dollars en moyenne par mois pour un médecin) en voyant des prolétaires européens et candiens se payer sur leur île des vacances à 1000 euros.
Et les turpitudes de tous les autres pays n’enlèvent rien au fait qu’il n’y a pas eu d’élections libres à cuba depuis plus de cinquante ans. Il y a encore au paradis castriste plus de 100 prisonniers politiques. Et la population dans son ensemble reste fliquée par un infâme maillage de collabos du régime, les fameux « comités de défense de la révolution ». A Cuba, et c’est ce qui rend difficile la solution, tout le monde tient tout le monde par les couilles.
Quant à l’abruti qui ose dire qu’à Cuba, il n’y a pas de journalistes assassinés, qui aurait intérêt dans le régime cubain à descendre les loyeux collabos de Gransma ou Juventud Rebelde.
Il est absolument hallucinant qu’une apologie de la dicture castriste puisse encore être publiée en France.