J’ai aussi noté que les établissements catholiques (qu’ils soyent écoles, universités ou hopitaux) ont la préférence d’étudiants musulmans, sikhs, juifs, etc.
C’est finalement logique. Les institutions réligieuses sont sensibles au fait religieux et l’intégreront plus facilement dans leur fonctionnement.
Ainsi dans les écoles et universités ils vivront/réfléchiront plus facilement leur foi au quotidien que dans des établissements où le fait réligieux devient presque tabou car laïques.
De même dans les hopitaux les malades (et le personnel médical) associera plus facilement la religion à la vie de l’hopital.
Finalement cela peut aussi concerner les athés. Alors que j’étais lycéen (athé convaincu) je me suis retrouvé dans un cours de religion pour échapper à un professeur de morale laïque particulièrement insuportable.
J’ai eu l’agréable surprise de voir que :
- on ne me tenait pas rigueur de mon ignorance du catéchisme/vies de saints, etc. Et qu’on m’a laissé tranquille en dépit de mon manque évident d’intérêt pour ce genre de sujets.
- on a eu des discussions bien plus ouvertes et tolérantes sur la société dans ce cours que dans le cours de morale laïque.
Bref, la tolérance et l’ouverture ne sont pas une question de croyances mais d’attitude au quotidien.
08/10 20:06 - Alexandre Santos
J’ai aussi noté que les établissements catholiques (qu’ils soyent écoles, (...)
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