Peut-être voulez vous me donner des leçons tout comme celle de linguiste ?
Vous mélangez beaucoup de choses et notamment ce que j’écris.
Pour en revenir au latin que vous usez pour donner du crédit à vos dires, mais que vous travestissez :
1- tradere est un verbe et non un nom donc un nom ne peut pas dériver d’un verbe d’une langue à l’autre ou dans un cas exceptionnel et cela ne peut être de l’infinitif
2- les latinistes n’utilisent jamais l’infinitif mais la première personne du singulier au présent de l’indicatif en l’occurrence trado
3- de plus, pour couronner le tout de votre science Internet qui prouve que vous êtes une sorte d’imposteur qui n’y connaît rien mais sait utiliser, mais mal, Internet, Google etc. , tradition ne vient pas de tradere (normalement écrit trado) mais de traditio
Quand on veut être professeur autant savoir ce dont on parle.
Je confirme donc car vous ajoutez des termes savants - sauf ce néo-terme savant et juridico fiscal qu’est chose selon vous - pour faire le savant mais tous à côté de la plaque, le fisc aurait très bien pu requalifier ce voyage en cadeau sans raison et au choix comme don manuel ou don déguisé. Il s’agit non de l’usage d’un bien qui appartient à Bolloré mais du payement par Bolloré de cet usage à une entreprise qui lui appartient. Il n’a donc pas mis à disposition son bateau mais a payé pour qu’il puisse l’utiliser. Il a sorti les picaillons de sa poche et a fait un cadeau au prix prohibitif sans aucun rapport ni avec un lien de parenté, ni la fortune de celui qui reçoit, ni de fait générateur acceptable. Le fisc se devait de taxer ce voyage sur le Paloma qui avec le voyage en jet privé a coûté entre 250 et 300 000 euros. En France on ne peut faire de cadeau de ce prix sans incidence fiscale.