Attendez, ne mélangeons pas tout. Vous confondez, l’objectif et le moyen, le style et le courant de pensée. Je pense que vous abordez, vous même, la symbolique dans un contexte très précis et semblez affolé par l’usage que j’en fais, et les conclusions que j’en tire !
1) Cette réflexion s’adresse à un champ vaste, et je n’ai pas la possibilité de trier le publique par niveau. Je rencontre donc les difficultés de ce type de support. Parlez d’ésotérisme, simplement le nommer, revient à se discréditer. C’est ce qui est arrivé à Jung. J’ai donc évité cet écueil.
2) Je n’ai pas mené une réflexion sur le symbolisme, le symbolisme a été un moyen. Je vous ai parlé du courant de pensée, à la demande de Hiéronymus et sur la nature de mon texte. Il n’était pas opportun de nommer Guénon ! Vous manquez de discernement, ou semblez porter des jugements trop vite...
3) Je cite Freud en raison des attaques récentes dont il a fait l’objet. Je donne une hypothèse sur les raisons cachées de ces attaques. Il est certain que Jung est le grand spécialiste des symboles de la psyché. Cependant après avoir été l’ami de Freud, ils se sont fâchés, pour les raisons que j’ai citées plus haut. Mon texte est fait pour passer, vous m’accorderez un minimum de politique, vous ne semblez pas en manquer vous-même…
Attention, vous m’accusez de n’être pas clair. Voudriez vous que j’aborde ce type de sujet avec le style du rapport administratif ou scientifique ? Traitant le thème de l’hystérocratie, évitez ce type de critique, je ne fais pas de la cuisine rapide, ni du maquillage...
Pour terminer, les jeunes ont des problèmes avec la philosophie, parce qu’ils n’aiment plus lire et qu’ils ont aussi une passivité contraire à la réflexion. Cependant ils ne sont pas les seuls ! C’est un phénomène de société...
Vous avez aussi la possibilité d’écouter le texte.