Que veut dire l’intégration pour les natifs de France ?
Un homme né à l’étranger, parlant couramment et sans accent
la langue du pays, ne pratiquant aucune religion, un casier totalement vierge
(bulletin 1 à 3) marié à une Française, père de trois enfants sans problème
scolaire et extrascolaire, créateur de société et d’emplois dans le pays qui
l’a accueillie, etc.
Cet homme, est-il un intégré tel que souhaité par la République française ?
C’est mon profil, et pourtant malgré toute cette
« intégration », le seul endroit ou peut finir un homme immigré,
intégré ou non est la prison, je fus renvoyé, jugé et pire condamné sur un
décret-loi ABROGÉ et donc sur un texte CADUC, et en bonus, je fus
interné dans un hôpital psychiatrique pour avoir MANIFESTÉ DES IDÉES
DIFFÉRENTES de mon élu local, une privation de liberté individuelle et
d’expression manifeste, clairement inscrites dans l’arrêté préfectoral
d’hospitalisation d’office, qui n’a provoqué aucune indignation des gens
sollicités, députés, ministre, magistrats, etc., associations de défenses des
droits de l’homme, n’obtenant qu’un silence assourdissant de toutes ces
autorités, dans un pays qui prône le dialogue et l’écoute, mais qui ne renvoie
aucun écho aux doléances d’un citoyen victime incontestable de
l’administration, le non-lieu sur les accusations fallacieuses qui m’ont
conduit en hôpital psychiatrique et en prison.
Comme l’a dit Winston Cherchell ; « En France, tout est permis, même ce qui est
interdit. »
Le communautarisme est inévitable dans un pays comme la France, car il ne laisse
d’autre chois aux immigrés que de se réunir pour se défendre contre l’agression
légale des autorités contre les minorités dites visibles.