Dabeb
Tout tient dans les articles de Loi, si moi je dis ne pas
être un malade mental, personne ne le croira, et ce sont les textes de loi qui
règlementent les internements et notre vie sociétale en général, logiquement en
doit en tenir compte.
Je ne sais pas pourquoi vous ne croyez pas à la sincérité de
ma mésaventure, surtout si vous avez vu les documents mis dans le portfolio de
mon article, ils parlent d’eux même.
Je vous invite à suivre les liens suivants :
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/2010-07/internee-et-brutalisee-pour-une-erreur-informatique-5947649.html
http://www.m6bonus.fr/actualites-2238/video-rouen_internee_par_erreur-43824.html
Des mésaventures de ce type, il en arrive constamment, cette
dame à clairement fait savoir qu’elle n’avait rien à faire dans l’ambulance qui
l’emmenait dans un hôpital psychiatrique, bien évidement les ambulanciers ne
l’on pas crue, et pour cause, personne ne croie « un malade mental »
quelque soit la délicatesse des propos utilisés pour le dire.l’usage de la force n’est qu’une formalité, l’infirmier
limogé n’a fait que respecter la procédure.
Quant à vous prendre pour « des imbéciles », loin
de moi cette prétention, chacun est libre des ses choix, d’être ou de ne pas être
ce que vous écrivez.
Mais vous avez entièrement raison sur le côté psychorigide, tout
d’abord, ce n’est ni un crime, ni un délit et si refuser l’arbitraire fait de
moi un psychorigide, alors je suis psychorigide et fière de l’être, et il est évident
que pour combattre une psychorigidité administrative, il faut assurément être
psychorigide, je défends mon opinion, c’est tout.