Que cela plaise à certains obscurantistes ou pas, les notions mêmes de
« Liberté, d’égalité, de charité, et de fraternité » sont avant tout des
valeurs profondèment Chrétiennes ! et non des valeurs hérités d’une
antiquité grecquo-latine ayant voué un culte exarcerbé au fort, sans
pitié avec le faible, ainsi qu’à l’Homme Dieu !
D’ailleurs qu’appelez vous les valeurs républicaines ? la terreur ? les escadrons
de la mort qui sous la révolution française organisèrent l’assassinat
froid et méthodique d’hommes, de veillards, de femmes et d’enfants dont
le seule tort et bien qu’ils aient été au départ favorable à la
révolution, était de seulement vouloir preserver leurs liberté de culte
? (chouans) ou bien encore l’execution d’un roi et de sa famille
innoncente des crimes dont ont l’accusait ? ou bien encore cette
république française qui ayant instauré le culte exarcerbé et
obligatoire de la patrie, de l’être suprème, ainsi que la quéte d’un
bonheur matériel immanent déchaînant toutes les avidités, en répandit
les idées nauséabondes à travers toute l’europe sous l’etendard de ce
tyran qu’était Napoléon. Idées qui ensuite furent le terreau propice la
naissance du communisme rouge, du nationalisme, du fascisme et du
nazisme, eux mêmes en quéte d’une sur-humanité et d’un paradis sur
terre absolu ?! Ce sont cela vos fameuses valeurs républicaines ?!
Quant à moi je ne connais que les valeurs morales profondèment
chrétiennes qui ont imprégnés cette société et dont la république des
Lumières ne fit qu’usurper les grands principes, tout en les vidant de
leurs essence profondèment mystique prenant appui dans ce qui demeure à
jamais imperceptible pour la seule pensée humaine !
Car ne vous y trompez pas ! la république antique tel que définit par
les empires grecs et romains, ne partageait pas ces fameuses valeurs
chrétiennes dont vous leurs prêtez pourtant la parternité ! car c’était avant tout la république était avant tout une république esclavagiste prônant la loi du fort et de l’Homme Dieu, c’est à dire
n’hésitant pas à écraser sans pitité le faible et le fragile !
Ainsi à la fin de l’antiquité et durant plus de milles ans de moyen
âge, le christianisme tenta tant bien que mal d’inverser cette tendance
justement propre aux valeurs antiques, en cherchant à mettre finalement
le pouvoir du fort au service de la défense du fragile ! tentative
longue et fastidieuse du christianisme, dont la république tel que
définit par les parvenus bourgeois s’empara finalement en 1789 pour
s’en arroger seul les bienfaits !