Je ne vois pas le rapport entre l’infanticide et le féminisme. L’infanticide a toujours existé et dans toutes les société et était réprimé sévèrement surtout pour la mère alors que pour le père les pratiques étaient plus ou moins sévères voire même permissives.
Vous partez de cas bien particuliers pour déverser votre hostilité contre le féminisme. Oui, il y a des femmes qui n’aiment pas le féminisme et les feministes, et alors ?? Faut-il prendre ce qu’elles pérorent comme parole d’Evangile.
La femme est aussi traversée par les passions, sentiments, etc. Et alors ??? Vous soulevez des lieux communs et vous cherchez à en faire des théories et des déductions savantes, un peu à l’image de « Socrate est un homme et l’homme est mortel donc socrate est mortel ». Votre article se positionne contre un courant, ce qu’est votre droit le plus strict, mais derrière ce positionnement vous chargez la femme en générale. C’est à la manière de tous les courants qui ont pour but d’attribuer une place à la femme, une condition bien pariculière. Dans le Coran également, il y a ce genre d’arguments, d’un côté on sublime la femme qui suit la trace que l’on lui impose et d’un autre on agite l’épouvantail des monteuses, rusée, machiavéliques, surnoises, etc,
« Puis, quand il (le mari) vit la tunique déchirée par derrière, il dit : (C’est bien de votre ruse de femmes ! Vos ruses sont vraiment énormes ! »
Je ne vois absolument en quoi je me sentirai concernée par l’infanticide d’une mère, pas plus d’un braquage, de l’inceste, de viole ou autre crime. Tenez, pourquoi ne pas cherchez un lien entre braquage et féminisme, ou encoire d’autres délits et crimes.
Enfin, autant la condition des ouvriers, des exploités en général est bien tranchée, celle de la femme reste ambiguë, de fait qu’elle appartient également parfois à des groupes ou des classes qui dominent et souvent elle peut avoir une portion du pouvoir et de la richesse, sans compter sur le fait qu’elle s’identifie d’abord par l’appartenance à la famille avant celle de classe ou groupe.
Quant au mythe de la femme qui a pu malgrè sa condition subtiliser le pouvoir de l’homme, c’est de même ordre que le pouvoir des consommateurs, c’est eux qui décident et le capitalisme est là à leur service. C’est une blague qui me fait rire.