mickael jakcson nazi ?
COLLUSION ET COLLABORATION DU MOUVEMENT SIONISTE
AVEC LE NATIONAL-SOCIALISME HITLERIEN.
Fédération sioniste d’Allemagne, un mémorandum au parti nazi le 21 juin 1933 :
« Dans la fondation du nouvel État, qui a proclamé le principe de la race, nous souhaitons adapter notre communauté à ces nouvelles structures... notre reconnaissance de la nationalité juive nous permet d’établir des relations claires et sincères avec le peuple allemand et ses réalités nationales et raciales. Précisément parce que nous ne voulons pas sous-estimer ces principes fondamentaux, parce que nous aussi nous sommes contre les mariages mixtes, et pour le maintien de la pureté du groupe juif.. Les Juifs conscients de leur identité, au nom desquels nous parlons, peuvent trouver place dans la structure de l’État allemand, car ils sont libérés du ressentiment que les Juifs assimilés doivent éprouver ; ... nous croyons en la possibilité de relations loyales entre les Juifs conscients de leur communauté et l’État allemand.
Pour atteindre ses objectifs pratiques, le sionisme espère être capable de collaborer même avec un gouvernement fondamentalement hostile aux Juifs... La réalisation du sionisme n’est gênée que par le ressentiment des Juifs à l’extérieur, contre l’orientation allemande actuelle. La propagande pour le boycott actuellement dirigée contre l’Allemagne est, par essence, non sioniste... »
Source : Lucy Dawidowicz, A Holocaust reader, p. 155.
Le Mémorandum ajoutait :
« qu’au cas où les Allemands accepteraient cette coopération les sionistes s’efforceraient de détourner les Juifs, à l’étranger, d’appeler au boycott anti-allemand. »
Source : Lucy Dawidowicz, The war against Jews (1933 - 1945) Ed. Penguin books,1977, p.231- 232.
Ben Gourion ( premier dirigeant de l’État d’Israël ) le 7 décembre 1938, devant les dirigeants sionistes du « Labour » :
« Si je savais qu’il est possible de sauver tous les enfants d’Allemagne en les amenant en Angleterre, et seulement la moitié d’entre eux en les transportant en Eretz Israël, je choisirai la deuxième solution. Car nous devons tenir compte non seulement de la vie de ces enfants, mais aussi de l’histoire du peuple d’Israël. »
Source : Yvon Gelbner, « Zionist policy and the fate of European Jewry », dans Yad Vashem studies. Jerusalem. Vol. XII, P. 199.
La circulaire de la Wilhelmstrasse indique :
« les objectifs que s’est donnée cette catégorie (de Juifs qui s’opposent à l’assimilation et qui sont favorables à un regroupement de leurs coreligionnaires au sein d’un foyer national), au premier rang de laquelle se trouvent les sionistes, sont ceux qui s’écartent le moins des buts que poursuit en réalité la politique allemande à l’égard des Juifs ».
Source : Lettre circulaire de Bülow-Schwante à toutes les missions diplomatiques du Reich. N° 83, 28 février 1934.
« Il n’y a aucune raison, écrivait Bulow-Schwante au Ministère de l’Intérieur, d’entraver, par des mesures administratives, l’activité sioniste en Allemagne, car le sionisme n’est pas en contradiction avec le programme du national-socialisme dont l’objectif est de faire partir progressivement les Juifs d’Allemagne. »
Source : Lettre no Z U 83 ?21. 2818 du 13 avril 1935.
Reinhardt Heydrich, chef des Services de Sécurité S.S :
« Nous devons séparer les Juifs en deux catégories : les sionistes et les partisans de l’assimilation. Les sionistes professent une conception strictement raciale, et, par l’émigration en Palestine, ils aident à bâtir leur propre Etat juif... nos bons vœux et notre bonne volonté officielle sont avec eux. »
( 1935 Das Schwarze Korps, organe officiel de la S.S - ) Source : Hohne. Order of the Death’a Head, p. 333
Circulaire de la Gestapo de Bavière à la police, 28 janvier 1935 :
« les membres de l’organisation sioniste, en raison de leur activité orientée vers l’émigration en Palestine, ne doivent pas être traités avec la même rigueur qui est nécessaire pour les membres des organisations juives allemandes (assimilationistes) ».
Source : Kurt Grossmann, « Sionistes et non-sionistes sous la loi nazie dans les années 30 » Yearbook. Vol. VI, p. 310.
Alfred Rosenberg, principal théoricien nazi, écrit :
« le sionisme doit être vigoureusement soutenu afin qu’un contingent annuel de Juifs allemands soient transportés en Palestine. »
Source : A. Rosenberg : Die Spur des Juden im Wandel der Zeiten, Munich 1937, p. 153.
Nota : Betar : groupe para-militaire sioniste.
« Le Betar allemand reçut un nouveau nom : Herzlia. Les activités du mouvement en Allemagne devaient obtenir bien sûr l’approbation de la Gestapo ; en réalité, Herzlia agissait sous la protection de cette dernière. Un jour, un groupe de SS attaqua un camp d’été du Betar. Le chef du mouvement se plaignit alors auprès de la Gestapo et, quelques jours plus tard, la police secrète annonça que les SS en question avaient été punis. La Gestapo demanda au Betar quelle compensation lui semblait la plus adéquate. Le mouvement demanda que la récente interdiction qui leur avait été faite de porter des chemises brunes soit levée ; la requête fut satisfaite. »
Source : Ben Yeruham, Le Livre de Betar, T. H, p. 350.
« L’organisation sioniste des juifs allemands avait une existence légale jusqu’en 1938, cinq ans après l’avènement d’Hitler... La Jüdische Rundschau (journal des sionistes allemands) parut jusqu’en 1938. »
Source : Leibowitz, Israël et Judaïsme. Éd. Desclée de Brouwer, 1993. p. 116
« Le sauvetage des juifs en Europe ne figurait pas en tête de liste des priorités de la classe dirigeante. C’est la fondation de l’état qui était primordiale à leur yeux. »
Source : Tom Segev. Le septième million. Éd. Liana Levi, Paris, 1993, p. 539
Memorandum du Comité de sauvetage de l’agence juive :
« Devons-nous aider tous ceux qui en ont besoin sans tenir compte des caractéristiques de chacun ? Ne devons nous pas donner à cette action un caractère national sioniste et tenter de sauver en priorité ceux qui peuvent être utiles à la Terre d’sraël et au judaïsme ? Je sais qu’il peut sembler cruel de poser la question de cette façon, mais nous devons malheureusement établir clairement que si nous sommes capables de sauver 10 000 personnes parmi les 50 000 personnes qui peuvent contribuer à la construction du pays et à la renaissance nationale ou bien un million de juifs qui deviendront pour nous un fardeau ou au mieux un poids mort, nous devons nous restreindre et sauver les 10 000 qui peuvent être sauvées ? malgré les accusations et les appels du million de laissés pour compte. »
Source : Memorandum du Comité de sauvetage de l’agence juive. 1943. Cité par Tom Segev. (op. cit)
Itzak Shamir ( futur premier ministre d’Israël ) et Abraham Stern, document remis à l’ambassade d’Allemagne à Ankara ( à cette époque les troupes du Maréchal Rommel était déjà en Egypte ) :
« En matière de conception nous nous identifiions à vous. Pourquoi donc ne pas collaborer l’un avec l’autre ? »Mémorandum de l’agent des services secrets nazis à Damas, Werner Otto Von Hentig, sur les pourparlers avec les émissaires de Stern et de Shamir : « la coopération entre le mouvement de libération d’Israël et le nouvel ordre en Europe sera conforme à l’un des discours du chancelier du IIIe Reich dans lequel Hitler soulignait la nécessité d’utiliser toute combinaison de coalition pour isoler et vaincre l’Angleterre ».
Nota : ces documents se trouvent au Mémorial de l’holocauste (Yad Vachem) à Jérusalem, classés sous le numéro E2M.
Israël Eldad, un des chefs historiques du groupe Stern confirme, dans un article publié dans le quotidien de Tel-Aviv, le Yediot Aharonoth, du 4 février 1983, l’authenticité de ces pourparlers entre son mouvement et les représentants officiels de l’Allemagne nazie -
Extraits :
« Principes de base de t’Organisation militaire nationale (NMO) en Palestine (Irgun Zevaï Leumi) concernant la solution de la question juive en Europe et la participation active du NMO à la guerre aux côtés de l’Allemagne. Il ressort des discours des dirigeants de l’État nationale-socialiste allemand qu’une solution radicale de la question juive implique une évacuation des masses juives de l’Europe. (Judenreines Europa).Cette évacuation des masses juives de l’Europe est la condition première de la solution du problème juif, mais cela n’est possible que par l’installation de ces masses en Palestine, dans un Etat juif, avec ses frontières historiques.Résoudre le problème juif de façon définitive, et libérer le peuple juif, c’est l’objectif de l’activité politique et des longues années de lutte du »mouvement pour la liberté d’Israël« (Lehi) et de son Organisation militaire nationale en Palestine (Irgun Zevaï Leumi).Le NMO, connaissant la position bienveillante du gouvernement du Reich envers l’activité sioniste à l’intérieur de l’Allemagne, et les plans sionistes d’émigration estime que :
1) Il pourrait exister des intérêts communs entre l’instauration, en Europe, d’un ordre nouveau, selon la conception allemande, et les véritables aspirations du peuple juif telles qu’elles sont incarnées par Lehi.
2) La coopération entre l’Allemagne nouvelle et une nation hébraïque rénovée (Vôlkisch Nationalen Hébräertum) serait possible.
3) L’établissement de l’État historique juif sur une base nationale et totalitaire, et lié par un traité au Reich allemand pourrait contribuer à maintenir et à renforcer, dans l’avenir, la position de l’Allemagne au Proche ?Orient. A condition que soient reconnues, par le gouvernement allemand, les aspirations nationales du »Mouvement pour la liberté d’Israël«
»(Lehi), l’Organisation militaire nationale (NMO) offre de participer à la guerre aux côtés de l’Allemagne. La coopération du mouvement de libération d’Israël irait dans le sens des récents discours du Chancelier du Reich allemand, dans lesquels Monsieur Hitler soulignait que toute négociation et toute alliance devait contribuer à isoler l’Angleterre et à la battre. D’après sa structure et sa conception du monde, le NMO est étroitement lié avec les mouvements totalitaires européens.«
Source : Le texte original, en allemand, » trouve, en Appendice no 11, dans le livre de David Yisraeli : Le problème palestinien dans la politique allemande, de 1889 à 1945, Bar Ilan University, Ramat Gan, Israël, 1974, p. 315-317.
Les pourparlers ont subi un coup d’arrêt lorsque les troupes alliées ont arrêté en juin 1941, l’émissaire d’Abraham Stern et Itzak Shamir, M. Naftali Loubentchik, au bureau même des services secrets nazis à Damas. D’autres membres du groupe ont poursuivi des contacts jusqu’à l’arrestation, par les autorités britanniques, de M. Itzak Shamir, en décembre 1941, pour « terrorisme et collaboration avec l’ennemi nazi. »
Ben Gourion :
« Beghin appartient incontestablement au type hitlérien. C’est un raciste disposé à détruire tous les Arabes dans son rêve d’unification d’Israël, prêt, pour réaliser ce but sacré, à user de tous les moyens. »
Source : E. Haber, Menahem Beghin, the man and the legend Ed. Delle Book. New York, 1979,
p. 385.34151-8.
Politique-Info - Mars 2002 - Toute reproduction autorisée.
11/08 22:33 - Hijack
Quand je dis qu’ils le sont aussi ... je veux dire la majorité !!! Même si cela fait mal (...)
11/08 21:44 - Hijack
Hola ! Qui a parlé de Gainsbarre ??? Je n’avais et je n’ai encore que de (...)
09/08 01:19 - friedrich
09/08 00:27 - Causette
allez une petite pause :-)) http://www.ina.fr/video/I04258934/serge-gainsbourg-nazi-rock.fr.html
09/08 00:05 - friedrich
c’ est grâce à toi que je suis passé à la cigarette électronique, donc je vais rester (...)
08/08 22:53 - Hijack
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