Commentaire de Le péripate
sur Entre Sarkozy et Le pen : l'épaisseur d'une feuille de papier à cigarette
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Ceci dit, le coup a bien été réussi : la gauche toute unie appelle le vainqueur de Verdun, lui donne de très nombreux ministres, fait en quelque sorte la révolution par le haut, et à la fin de la guerre une autre gauche qui par la grace de l’alliance avec Hitler et Staline se retrouve vierge, soutenu par De Gaulle qui paye sa dette à Staline, reprend l’héritage.
Bien joué. Gagnant sur tous les tableaux, un coup d’éponge et ça repart.
Derniers commentaires
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07/08 23:20 - non667
à jaja : il n’est pas dit dans le liens que les nervis étaient du fn (...)
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07/08 19:18 - non667
à pastori « mais il sera toujours d’extrême droite. » le fn dénonce a juste titre (...)
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07/08 18:48 - jaja
Non667 la dernière attaque que je connaisse de nervis du patronat date de février 2010... Ce (...)
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07/08 18:09 - non667
à fourreau "elle fourni (vous parlez au présent )au patronat les nervis nécessaires à la (...)
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07/08 15:22 - Waldgänger
J’ai vu vos réactions ffi, les précisions sont intéressantes et à retenir.
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07/08 15:14 - ffi
Pour compléter, il me semble logique que le structure du pouvoir, dans les partis dominants, (...)
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