@anty
Figurez vous que les hommes aussi dans leur jeunesse peuvent vivre des expériences pénibles et de ce côté là ils n’ont rien à envier aux filles
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Et vous croyez qu’il n’y a pas de féministes pour compatir, réfléchir, analyser et suggérer des solutions au mal être et à la violence des hommes ?
Vous croyez qu’aucune féministe ignore que les mères sont souvent malades de leur condition sociale de femme et qu’elles surinvestissent leurs fils en s’accaparant leur phallus (sympole de domination masculine) et entretiennent avec eux des relations incestuelles qui les privent à jamais d’avoir des relations harmonieuses avec d’autres qu’elles-mêmes ? Toutes des putes sauf maman ;-(((((
Vitupérer sur « LE » féminisme, c’est une manière de botter en touche, de ne pas se remettre en question et de ne pas vouloir construire des relations harmonieuses entre les hommes et les femmes.
Savez-vous que, dans les années 70 déjà, des féministes fondatrices du foyer Flora Tristan qui accueillait les femmes battues écoutait aussi les hommes frappeurs dans des groupes de parole qui leur étaient dédiés ?
Elles menaient aussi une réflexion sur la violence féminine vis à vis des hommes et cceptaient d’entendre les hommes battus, insultés, méprisés et maltraités par leur compagne.
Les personnes sincères et intelligentes, femmes ou hommes, ont compris la complexité de l’être humain et savent que la mise en boite, l’étiquetage, les généralisations et autres pensées réductrices ne sont qu’un pauvre rempart contre l’angoisse de mort et sont contre productives quand on veut évoluer vers un mieux pour tout le monde.
Cet article est un excellent exemple de contreproductivité vis à vis de l’entente entre femmes et hommes.
Il donne aussi une indication sur le niveau de souffrance et de désarroi de son auteur.