« Tu te réfugies, Ami inconnu, dans les retranchements du rationnel » : Mais parfaitement ! Et je mets n’importe quel zélote au défi de me suivre sur ce terrain ! Toute autre manière de raisonner soulèvera immanquablement la question : « pourquoi devrais-je croire ce que vous dites, puisqu’il n’y a ni fondement factuel, ni raisonnement scientifique ? »
"l’ espace /temps (...)
solitude existentielle profonde)« : Je n’en ai jamais douté...
»la création d’ un créateur, ça n’ a pas de sens« : Ah bon, et pourquoi ? J’ai déjà créé des choses, et j’ai été créé au moins par mon papa et ma maman.. Mais on rentre à nouveau dans le domaine de la spéculation spirituelle, l’inconnaissable dont je parle plus haut. Ces questions nous dépasse, puisque nous n’avons pas le moindre fait à partir duquel raisonner. On est donc juste en train d’argumenter sans argument. C’est un peu comme la citation de Voltaire, »L’horloge ne peut exister sans horloger.". Voltaire part du principe que l’univers est comparable à une horloge, ce qui reste totalement à démontrer, et donc ceux qui veulent le croire le croiront, et les autres non, et au final, on n’est pas plus avancé qu’avant.