Que d’ignorances.
En Islam, le Coran nous interpelle à chercher la cause profonde de toute chose, y compris la logique des enseignements dont il recèle lui-même ; il ne nous interpelle pas à croire par défaut, mais à méditer en profondeur toute chose soumise à l’esprit.
L’interdiction des chiens dans les maisons ne vient pas d’une n’importe phobie. Faudrait d’ailleurs rappeler que les gens de campagne dépendent pas mal des chiens en toutes sortes d’affaires.
L’interdiction du chien, hormis le chien de garde et celui de chasse provient du simple fait que le chien est un animal impur : sa salive, sa bave, ses poils et ses selles sont le vecteurs de pas mal de microbes, de virus et de bactéries très nocifs à l’homme.
On pourrait en citer le taenia echinococcus, le Toxoplasma gondii, et bien d’autres saletés que l’on ne saurait énumérer ; il faudra poser la question aux vétérinaires.
Comme le démontre cette étude sur le toxoplasmose (document PDF) : en France, dans les années 60, la séroprévalence chez les femmes enceintes était de l’ordre de 80%, et autour de 66% dans les années 80, et de 44 % dans l’année 2003.
Cette photo illustre bien pas mal de réalités. Bon, les gens n’y vont pas tous certes avec la bouche, mais le contact de la main sur le pelage à lui seul suffit, sans parler de tout ce qui peut rester suspendu sur l’air ou accroché sur tout objet de la maison.
Chez les musulmans, mêmes les chats sont assez rares à domicile.
Tout ceci n’a aucune relation avec quelconques superstitions.
L’Islam et le Coran ne cessent de nous démontrer leurs sagesses pragmatiques.