En fait ce qu’il veut dire c’est que la propriété se justifie par la
possession et le travail. D’ailleurs c’est là où il fait une faute, car
il avance que la propriété est un droit naturel alors que c’est la possession qui l’est en réalité. D’ailleurs c’est là le
paradoxe et c’est là que la propriété rompt aussi la notion d’égalité.
Car si tous les hommes peuvent avoir des possessions, ils n’ont pas tous
un travail. Et si ils n’ont pas de travail c’est uniquement parce que
la notion de propriété permet de choisir ceux qui en auront et ceux qui
n’en auront pas.
A cela ont peu rajouter que tous ceux qui ont une propriété ne
travaillent pas forcément et c’est là où ça rejoint le terme de
prédation que vous utilisez. Ils ne sont plus propriétaires si on en
suit la base de la philosophie libérale. Spéculateurs et autres
usuriers...
Et même si on en suit la logique, le propriétaire à la retraite ne
devrait plus être propriétaire. Dans sa philosophie le libéralisme
n’aime pas les vieux.
Il y a encore pleins d’exemples à démontrer que le libéralisme est quelque chose de bien pourrie.
En fait tout ça pour dire qu’en fait le bon terme c’est exploitation
parce que les libéraux te gardent tant que tu es utile... contrairement
au prédateur qui va directement te tuer.