@J. SCIPILLITI : Je ne pense pas, du moins était-ce ma préoccupation, avoir fait « dans l’amalgame ». Ah, il est vrai que des termes sont en vogue : « amalgame » « stigmatiser » et c’est repris partout et par tous. Il faut avouer que les journalistes et les politiques se chargent d’en faire la comm’ ... Ce qui m’étonnera toujours c’est que le citoyen reprenne ces termes, sans, a priori, se poser la question de ce qu’ils cachent ou dissimulent ..
Mais oublions ..
Vous disiez ? Le fond, la forme ? Peut-être ... Oui, vraiment, je ne suis pas certain d’avoir dissocié l’un de l’autre et vice et versa ..
Quant aux « termes » qui subsisteraient dans une « population qui n’est pas la plus évoluée », là, je dois vous confesser que ça n’est pas toujours exact. Ah, non ! Certes, on pourrait penser, que « ignorance » se marie avec « non-évolution », n’est-ce pas ? .. Eh bien, je pus observer quelques étranges (mais fort intéressantes) exceptions à cette règle ...
Et puis, donc, vous évoquez une « préoccupation » concernant « les autres » « devant l’immigration ». Et que de cela, cette « préoccupation », il faut bien en débattre.
Certes ...
Mais croyez-vous que la façon dont ce débat nous est (régulièrement) proposé est démocratiquement sain (Burqa, polygamie, excision, identité nationale) ? Qui nous le propose ? Les bases de ce débat sont-elles honnêtes ou partisanes ? Idéologiques, populistes ou bêtement humaines ? Et surtout : sommes-nous (dans) une réelle démocratie ? ..
J’ajoute que l’on parle souvent du point GodWin. Il faudrait en créer un autre, dès qu’un locuteur évoque l’Islam (c’est une boutade) ..
Je crois comprendre, à ce propos, même si vous n’en dites pas bézef, que l’Islam vous « préoccupe » .. Bien plus, puis-je me permettre, que l’immigration. A moins que vous - pardonnez-moi, je vais maître-chanter avec les politiques et les journalistes - ne fassiez un amalgame entre les deux ... Mais j’ai dû mal vous comprendre, n’est-ce pas ? ...