Ce n’est pas « encore » une définition, juste une découverte.
Que penser de l’ouvrage « Le Moloch Juif » du blanquiste et communard Gustave Tridon, où il est écrit par exemple, « ... son influence a été plus grande et plus funeste, car elle a crée le judaïsme, père de deux fils détestables : l’islamisme et le christianisme. »
Ou encore de Gustave Florens, républicain et communard, raciste et anticlérical, qui écrivit dans son cours intitulé Histoire de l’Homme :
Ils s’appelaient
eux-mêmes les Aryas, les hommes purs, et
ils méritaient ce nom. C’est d’eux que
nous viennent nos idées les plus
élevées, nos sentiments les plus nobles, nos
fidélités inébranlables, nos
généreuses abnégations. Ces Grecs,
spirituels et intelligents, , braves
soldats, poètes, orateurs, artistes
passionnés ; ces Germains, ces
Gaulois, si fiers dans le combat, guerriers chevaleresques, amis
dévoués,
c’étaient les fils des Aryas. (…)
Ils
étaient pleins de respect pour les
faibles, désintéressés, esclaves de
leurs promesses. L’étranger qui demandait
l’hospitalité,
fût-il un ennemi, ils lui donnaient la meilleure place dans
leurs étroites
cabanes. C’étaient de nobles cœurs. Et
nous aussi, Français, nous sommes Aryas,
et ce sont les mêmes qualités qui nous font
grands. Nous avons, comme les
Grecs, l’amour du vrai et du beau, le goût pur,
l’expression heureuse. Nous
tenons de nos pères, Gaulois et Germains,
l’intrépidité,
l’élévation des
sentiments, la bonté.
Je serais très étonné que ces idées là ne soient jamais recyclées. Je crois même que c’est déjà le cas.