Vous pouvez nier, mais les faits et les enquêtes sont là pour vous démentir
Une enquête algérienne à indicateurs multiples (MICS3) de l’Office national des statistiques en collaboration avec le ministère de la Santé et de la Réforme hospitalière et financée par l’UNICEF, a, entre autres, dévoilé que 67,9 % de femmes algériennes acceptent que leurs maris les battent
Amel Bouakba, « 67,9 % des Algériennes acceptent les violences conjugales 2 juin 2009, ARCHIVE
La société algérienne est en majorité composée de jeunes, 50% de la population est célibataire. Plusieurs associations caritatives et organismes sont présidés par des femmes, elles travaillent pour donner des soins et pour aider les gens surtout dans les régions rurales et dans les hôpitaux.
Par contre, la femme demeure un objet. « En Algérie, quand une femme est agressée, lynchée, on dit qu’elle est prostituée. Quand elle dépose plainte, on dit qu’elle est manipulée. Quand elle suscite la solidarité internationale, on la trouve carrément suspecte »
la voix des femmes contre le silence des autorités Par Souâd Belhaddad ALGERIE
Au cours d’une enquête entre 2006 et 2007, la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (FOREM) a découvert que 38,3 des mariages du pays sont CONSANGUINS. Bir el-Ater près de Tébessa vient en tête du classement avec un taux de 88 % de cas de consanguinité, alors que le taux le plus faible est enregistré à Oran avec 18,5 %.
Les dangers des mariages consanguins en Algérie ENQUETE
Une étude récente dévoile qu’entre 2007 et 2008, 36 % de garçons et 15 % de filles ont subi une violence physique à l’école, 35 % de garçons et 12 % de filles ont été agressés dans la rue. 26 % d’adolescents ont été battus au sein de leur famille
Société - le classement IDH Algérie-Pyrénées