Parce noyauté une commission est impossible, voilà ce que je trouve sur votre précédente enquête de sainteté :
Une seconde technique que les carbocentristes ont utilisé ensuite pour
préserver leur croyance a consisté à répéter de manière incessante que
les enquêtes officielles sur le scandale du « Climategate » ont lavé de
tout soupçon les principaux scientifiques du GIEC impliqués, et que leur
science a été « démontrée comme valide ». Mais, comme il a été noté par
des critiques comme Steve McIntyre, du site Climate Audit, cela n’a
rien d’étonnant, dans la mesure où les enquêteurs ont eu grand soin de
n’interroger aucun expert comme lui qui aurait pu expliquer en quoi les
courriels divulgués de l’Unité de Recherches Climatiques (CRU) sont
accablants.
Le rapport du Groupe d’Évaluation Scientifique, dirigé par Lord Oxburgh,
n’examine que 11 papiers produits par la CRU, aucun d’entre eux n’étant
relié ni de près ni de loin à l’affaire. La semaine dernière, Andrew
Montford, auteur de The Hockey Stick Illusion : Climategate and the Corruption of Science,
a révélé sur son blog (Bishop Hill - bishophill.squarespace.com) que la
sélection de ces papiers pour l’enquête a été approuvée par Sir Brian
Hoskins, de l’Institut Grantham pour le Changement Climatique à
l’Imperial College, et par Phil Jones, l’ancien directeur de la CRU -
ceux-là même que visaient l’enquête.