Dans leurs textes respectifs, le Coran abrogea la lapidation, contrairement à « l’Evangile » qui ne le fit JAMAIS
La prévenue avait participé
à l’assassinat de son mari en compagnie de deux complices avec lesquels
d’ailleurs elle avait couché. En ordre de priorité, lequel des deux
forfaits serait-il le pire ?!! Le meurtre évidement. Et aux médias occidentaux
de nous parler d’une Sakinah condamnée à la lapidation pour adultère. Allez comprendre !
Parlons-en de lapidation.
Le Christianisme n’avait jamais,
dans ses textes sacrés, abrogé la lapidation pratiquée par les juifs,
l’Islam, par contre, via le Coran, l’avait fait.
Les ignorants vont me crier que des musulmans (n’exagérons pas, une
partie infime des musulmans) la pratiquent, et qu’il existe en sus deux
ou trois hadiths qui parleraient de sa pratique, et que dès lors je ne
pourrais être qu’un menteur.
A ces mêmes ignorants je répondrais : l’Islam
est totalement innocent de ces gens là et de ces prétendus hadith, et
ce pour la simple raison que le Coran a effectivement abrogé la
lapidation énoncée dans la Torah, lui substituant la flagellation, qui
elle n’est pas mortelle, pour les deux adultérins et non seulement pour
la femme adultère.
A ces ignorants là je lance un défi : nulle part dans le Coran vous ne trouverez la lapidation comme sentence ; le Coran l’a effectivement abrogée. Quant aux supposés 2 ou 3 hadiths qui en parlent, ils ne pourraient être que faux, car aucun
hadith ne pourrait abroger un verset coranique ; que l’on nous
rapporterait même un milliard de hadiths défendant la lapidation et
s’opposant avec le verset parlant de flagellation ils ne pourraient être
que FAUX.
Ceci dit, revenons à l’Evangile et à l’affaire des pharisiens, de Jésus et de la prostituée.
En fait, Jésus (que le Salut de Dieu soit sur lui) n’avait jamais interdit la lapidation.
Oui, mais on me répondra que lorsque les pharisiens lui ramenèrent la
prostituée et lui demandèrent son avis pour la lapider il leur
répondit : Que celui qui n’a jamais pêché lui jette la première pierre.
Qui donc pourrait voire dans une telle phrase une condamnation franche et réelle de la lapidation ?!!!!!!
Objectivement : ce n’en est pas une.
Il faudrait contextualiser tout le scénario pour se rendre en toute objectivité que Jésus n’avait point condamné la lapidation.
Je m’explique.
En fait, chez les juifs l’adultère a
lieu uniquement quand un homme (marié ou non) couche avec la femme d’un
autre, et donc quand une femme mariée couche avec cet homme là.
Si un homme couche avec une femme
non mariée ou avec une prostituée (et vice versa), il n’y a pas
d’adultère pour aucune des deux parties homme et femme.
Or que firent les pharisiens ?!!!!
Ils voulaient se jouer de la tête de
Jésus et le mettre en ridicule, et lui ramenèrent à cette fin une
prostituée (seule) pour la faire juger par lui sous l’accusation
d’adultère afin de le tenter (alors que déjà dans une relation
adultérine il y a deux parties).
Conscient
de leur subterfuge juridique (et de la non constitution selon leurs
propres règles d’un cas d’adultère) que leur répondit Jésus ?!!
Il leur rétorqua : Que celui qui n’a jamais pêché lui jette la première pierre !
Qu’entendait-il par le fait de « ne jamais pêcher » ?!!
En fait, Jésus leur insinua ironiquement : que celui qui n’est jamais allé aux putes parmi vous jette à cette « innocente » prostituée la première pierre.
Ils se rétractèrent tous, insultés, trainant leur propre culpabilité derrière eux.
Fin mot de l’histoire :
Les salauds, c’étaient tous des religieux et tous fréquentaient unanimement les maisons de débauche.
Il n’y avait aucun saint parmi eux.
Les pharisiens (prétendument religieux) qui voulaient faire assassiner une péripatéticienne fréquentaient eux-mêmes les péripatéticiennes.