Une grande démystification s’impose.
Il ne faudrait pas chercher midi-quatorze heures.
Halal veut dire licite. De même que Haram veut dire illicite.
Une nourriture halal c’est une nourriture qui ne contient pas
d’alcool, qui ne contient pas de sang, qui ne contient pas de cochon,
qui ne contient pas de viande non préparée de façon islamique (ou
kasher), et
aucun des dérivés de ces quatre éléments là. AU DELÀ DE TOUS CES ÉLÉMENTS TOUUUUUT EST LICITE/HALAL, OUI, TOUUUUUT. Sa source, sa production,
sa préparation et sa commercialisation
doivent également répondre à de L’ÉTHIQUE pour être complètement
considérée halal (y compris en matière de limitation des bénéfices qui
devraient en être tirés / pas d’usure / pas de spéculation non plus) ; or, beaucoup sont les professionnels à négliger -
hélas - ces aspects moraux là.
Pour le détail, une viande typiquement halal est une viande qui
devrait être issue d’un animal qui a été abattu selon le rituel
musulman, càd, issue d’un animal qui a été égorgé conscient et sur
lequel a été prononcé la formule suivante : Bismi Allahi ar-Rahmani
ar-Rahim / Au Nom de Dieu le Tout Clément le Très Miséricordieux, en
guise de demande d’autorisation à Dieu d’ôter une telle vie qu’il a mise
et créée pour notre bien et à notre service, et en guise de
remerciement qu’Il ait mis à disposition entre nos mains une telle
source d’alimentation. (pas comme certains qui y allaient et qui y vont encore FRANCO [sans aucun préalable] avec un coup de gourdin sur la cabosse, vlaaaam / un lion ne ferait pas mieux, lui au moins il course sa bête)
Egorger l’animal à manger n’a rien d’un acte barbare : une fois les
carotides tranchées, le sang s’arrête d’alimenter le cerveau en oxygène,
ce qui fait tomber l’animal dans une anoxie instantanée et dans une
perte immédiate de conscience ; en manque, le cerveau sollicitant un
plus grand afflux en oxygène commande au coeur, à cause de cette
détresse là, de pomper davantage de sang, qui s’éjecte dès lors davantage
en dehors du corps de l’animal abattu. Par ce moyen, la viande de
l’animal se retrouve épurée de son sang, de ses toxines (l’urée entre
autres), des hormones encore proactives (comme l’adrénaline entre
autres), et se retrouve partant débarrassée d’un grand terreau où
peuvent progresser pas mal d’éléments pathogènes (qui peuvent déjà être
dans le sang, ou s’y développer). Les réactions et contractions
musculaires de la carcasse de l’animal peuvent elle aussi contribuer à
cette action d’essorage.
La viande d’un animal égorgé conscient est plus propre à la consommation que toute autre viande préparée autrement.
L’électronarcose, elle, suivie par un égorgement, ne permet pas cette
épuration de la carcasse de son sang, pour le simple fait que le coeur
peut se retrouver paralysé, et surtout surtout parce que le cerveau ne
commande plus au coeur de pomper brutalement du sang à l’extérieur,
puisqu’il n’enclenchera plus de réaction neuromotrice à la destination
de cet organe.
Je le répète, dès que les carotides sont coupées, l’animal tombe
inconscient en anoxie ; malgré la brutalité de ses réactions (purement
physiques, même si spectaculaires) il n’est plus conscient.
L’autre jour, sur Europe1, un diététicien, non musulman, laissait bel
et bien comprendre que la viande saignée était plus propre à la
consommation et plus diététique que celle qui ne l’était pas.
Quant à beaucoup d’ignorants je rappelle que beaucoup mangent de la
viande Kasher sans s’en rendre compte, car chez les juifs la partie
basse de l’animal est considérée comme non licite et est vendue dans les
circuits classiques de la boucherie pour les autres goyim.
Un juif ne consomme que la moitié supérieure d’un animal abattu (allez savoir pourquoi !). Ne
croyez pas alors que l’autre moitié serait jetée. C’est le boucher du goy
qui l’achète, et c’est le goy qui la consomme.
NB : L’entité sioniste est un grand exportateur de viande à destination de l’Europe.