@ tous les « conspirationnistes » & assimilés :
Nous devrions cesser de polémiquer avec ce genre d’auteurs ; il est absurde d’essayer de convaincre de quelque chose, quelqu’un qui ne veut ou, en l’occurrence, ne peut pas comprendre, et dont la conscience n’existe plus qu’en fonction de ce déni fondamental.
L’auteur est dans le camp des gentils, il vit dans un monde de certitudes euclidiennes hermétiques au MAL - et partant à la raison... Oui-oui land, terre promise des bisounours fanatiquement reconnaissants.
Souhaitons-lui juste bonne chance dans son passionnant et vain travail d’apologie des pouvoirs en place. De toutes façons, l’historiographie de l’époque se fera sans ses bons offices, à mesure que quelques intellectuels, légitimement aiguillonnés par le mécontentement et le scepticisme de plus en plus universel, tireront les conséquences logiques de ce qui se déroule sous nos yeux : à savoir que ça va très très mal, mais pas au sens où ça devrait normalement aller mal, et qu’une anomalie s’est pour ainsi dire faufilée dans le scénario en cours.
@ l’auteur :
M., vous pouvez consacrer tout le temps qu’il vous plaira à vous rassurer, nous n’en avons strictement rien à fiche, et malgré vos gémissements sophistiques le fossé continuera de se creuser inexorablement entre les préposés au gardiennage du dogme politico-médiatique vitalement intéressés à sa perpétuation (les « confiants », comme dit Robert Quaglia, ceux qu’un démenti si radical conduirait direct au suicide), et la masse obscure des « désenchantés » qui, eux, ont compris... même s’ils ne comprennent pas exactement ce qu’ils ont compris !
PS : « conspirationniste »... à quel scribouillard d’agence de relations publiques d’Etat doit-on ce néologisme passe-partout !
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