Au sudiste = en plus de rien y connaître vous continuez à faire des comparaisons d’une nullité sans fond. Vous essayez de vous rattrapez car nous ne saviez pas ce qu’est un ratio et maintenant vous venez faire le beau ! Vos exemples successifs vous rendent assez ridicules à force de vouloir démontrer en exagérant vous ne faites que faire rire ceux qui vous lisent.
Vous comparez deux entreprises fictives qui n’ont rien à avoir l’une avec l’autre or dans le cas d’Adidas, il s’agit bien d’Adidas. Quand Tapie l’achète elle fait 3,3 milliards de CA (avez-vous noté 3,3 mds de CA ?) et 52 millions de bénéfs, quand Dreyfus la met sur le marché elle fait 3,5 mds de CA (avez-vous noté 3,5 mds de CA ?). Au niveau CA ce sont les mêmes entreprises. Au niveau fonds propres celle que vend Dreyfus est dans une situation bien meilleure que celle achetée par Tapie. Celle que vendait Tapie avait un endettement de 750 millions ! Enfin, petite leçon de bourse : quand on négocie de gré à gré, donc hors marché (achat de Tapie) on ne se trouve pas dans la même situation que l’introduction en bourse où le marché achète l’avenir et pas seulement l’état actuel. Ce qui conforte d’autant plus mon raisonnement car quand Tapie vend la société va vers la catastrophe, on aurait tendance à la sous-coter, quand Dreyfus met en bourse, l’entreprise se redresse de façon fantastique passant de pertes de de 150 millions à d’abord des bénéfices de 128 millions sous la première année Dreyfus puis 275 millions sous sa seconde année. On serait donc tenté de sur-coter à l’achat cette société qui progresse de façon vertigineuse quand celle de Tapie s’effondrait de façon vertigineuse.
PS j’ai été conseiller financier indépendant pendant 5 ans et en parallèle j’ai travaillé pour une charge d’agent de change devenue société de bourse, voilà pour votre gouverne. Venez me donner des leçons.