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LES AVENTURES DE MME WOERTH A GENEVE
du 6 au 9 septembre 2010
:
Mr Berger nous signale cet article de la presse suisse concernant Mme Woerth qui habitait dans le « fief de Mmme Bettencourt » : "Entre
les bords du lac Léman et la Perle du Lac s’élèvent les résidences de
Château-Banquet. Un somptueux ensemble d’immeubles cossus immergés dans
la verdure, où les appartements se vendent 1,5 million de francs le 5
pièces et 3,5 millions de francs le 10 pièces. C’est là que, selon
plusieurs sources concordantes, résidait l’épouse de l’actuel ministre
français du Travail et ancien ministre du Budget, lorsqu’elle venait à
Genève pour gérer les affaires de Liliane Bettencourt. « Florence Woerth
vivait ici, à Château-Banquet, se confie un courtier en immobilier.
D’ailleurs, si vous désirez un appartement, le sien est toujours vide ! »
Selon de nombreux témoignages, la gérante de fortune française, au
service de la société financière des Bettencourt, Clymène, y est venue
souvent, très souvent. Bien plus en tous les cas que ce qu’affirmait le 4
juillet dernier l’avocat de Florence Woerth, Me Antoine Beauquier,
suite aux révélations de 24 ?heures, affirmant qu’elle était « presque à
demeure » dans la Cité de Calvin : « Mme Woerth, disait-il alors, n’a
effectué au cours de ces dernières années que deux déplacements à
Genève : le 11 janvier et le 29 mai 2008. » L’épouse du ministre
résidait-elle directement au 10 Château-Banquet, où les Bettencourt ont
acquis un splendide appartement de… dix-neuf pièces de 433m2, au
huitième étage ? Cet appartement était inscrit sous la propriété de la
société immobilière En Bergères Vevey SA, domiciliée au 55, rue Nestlé à
Vevey. Soit au cśur même de la multinationale vaudoise, actionnaire à
hauteur de 29,1% de L’Oréal !« . Voilà qui s’ajoute à la longue liste des mensonges des Woerth. Mais 24Heures nous apprend encore bien plus : »la
visite estivale des émissaires de de Maistre dans les salons de la
banque privée genevoise prouve l’urgence qu’il y a pour l’entourage de
l’héritière à nettoyer toutes traces d’évasion fiscale en Suisse,
considérée en France comme une fraude grave. Délit qu’Eric Woerth,
lorsqu’il était au Budget, avait explicitement désigné comme sa
principale croisade. Aujourd’hui, c’est lui qui se retrouve au cśur
d’une tempête qui pourrait bien lui coûter sa tête". Lire 24heures.
Revue de Presse par Pierre Jovanovic © www.jovanovic.com 2008-2010.