Bonjour,
" En jetant un œil sur les membres qui constituent l’infaillible et
incorruptible aréopage de ce Conseil à l’époque, 3 ont été désignés par
Monsieur Mitterrand, 1 par Monsieur Mermaz, 1 par Monsieur Emmanueli, 1
par Monsieur Fabius et 3 par Monsieur Poher. " En deux mots, Poher to the people... http://www.youtube.com/watch?v=u6KnUW9N3Zo&eurl=http://www.pingoo.com/author/Momoko/ Oups, excusez moi pour ce contretemps facheux : http://www.youtube.com/watch?v=Wos-dDxpJlQ voilà qui est plus clair.
J’ai tenté de lire cet article mais ai buté rapidement exactement comme avec la constitution de Giscard. J’ai donc donné une deuxième chance à votre courageux travail en actionnant readspeaker et me suis installé dans mon fauteuil au soleil couchant. J’ai eu un peu de mal à suivre malgré la bonne volonté des acteurs de ce logiciel bien pratique et ne sais qu’en conclure si ce n’est que trop de lois tuent la loi.
De ce point de vue, l’on ne peut en aucun cas accuser le peuple français de ne pas s’être tenu au courant au jour le jour des différents méandres quotidien dans laquelle celle ci est engagée, et dont le débit semble désormais bien supérieur au rythme du long fleuve tranquille arrivant paisiblement dans son entrée en large estuaire, mais plutôt à un torrent de défilé étroit en temps de crue et surtout, remontant la pente vers sa source...
Dans ces conditions, ces lois constituées en commissions dans des salons privés entre inconnus notoires ne représentent pas grand chose pour le commun des mortels que nous sommes tous en majorité. Pour les faire appliquer correctement, il faudrait un tampon sérieux de sous fifres fonctionnaires qui eux même disparaissent de plus en plus de l’environnement local. Dans ces conditions, à quoi cela sert il de continuer à administrer les règles d’un jeu où plus personne ne se reconnait en dehors des arbitres ?
Les acteurs de ce système législatif devraient bien se rendre compte qu’ils pédalent dans le vide et se retourner pour observer qu’il n’y a plus personne dans leurs wagons.
Je ne saurai leur faire deux propositions simples pour remédier à leur quête incessante de modifications des règles du jeu : la légalisation du chanvre à usage industriel, et la remise à zéro de la dette nationale correspondant exactement ses intérêts déjà payés. Tout deviendra tout de suite bien plus clair et pratique pour tout le monde.
Merci d’avance pour avoir eu l’obligeance de me lire. L.S.