Mais, je m’en réjouis, Monsieur Forestier.
N’oubliez pas de nous parler de ceci : Il ressort des rapports de la SEC et du FBI que pour prouver que les transactions, dont le volume était anormal, voire tout à fait exceptionnel, ayant porté sur les titres des compagnies aériennes, de certaines grosses sociétés implantées dans les tours, de compagnies de réassurance mais aussi de Securacom qui assurait la sécurité des tours autant que de l’aéroport de Dulles, n’étaient pas des délits d’initiés, les enquêteurs ont uniquement constaté que ceux qui les avaient effectuées n’étaient pas suspects d’avoir des liens avec Al Quaida...
Demandez-vous si cette preuve par ailleurs nullement documentée sinon par des affirmations de principes, suffit à écarter la possibilité de délits d’initiés dans le chef de ces institutions ? Je n’ai pas besoin de vous rappeler la définition juridique des délits d’initiés.
Par pitié, ne nous sortez pas que la hausse très inhabituelle des flux sur les titres des compagnies trouve une explication suffisante dans la parution d’une directive d’un conseiller financier juste avant le 11 septembre. J’en ai parlé à un ami financier. Ce serait bien la première fois que ce genre de parution générerait une tendance aussi marquée et exceptionnelle...
Prenez également connaissance de cet article très récent paru dans les reopen news :
Le probabilité de délits d’initiés sur un plan purement théorique est très élevée selon ce spécialiste, qui confirme, par une autre méthode les conclusions auxquelles était déjà arrivé un autre spécialiste nommé Potesham.
Bien à vous,
PS : Ma satyre est hélas fort proche de la réalité. De nombreuses aberrations voire complètes absurdités sont hélas bien réelles et en disent long sur la solidité du récit de la Commission que vous avez choisi de présenter, sans tenir compte des propres doutes émis par les commissaires et sans préciser que selon un article de la grande presse US, une grande majorité des informations sur les terroristes et la préparation des attentats auraient été obtenues suite à des interrogatoires où la torture était pratiquée.