Ceux qui ont subis la seconde guerre mondiale, les pénuries, reconstruit le pays, qui ont perdus leurs 20 ans en Indochine ou en Algérie, ou vécu chichement toute leur vie, que ceux-là touchent des retraites correctes, ce n’est pas scandaleux. De plus, une bonne part n’en a pas profité longtemps.
Ont succédé à ceux là, des fils à papa, rêvant de la révolution prolétarienne, qui ont finis leur carrière à tous les postes dirigeant, et qui une fois en retraite ont dit : « basta ».
Donner des retraites, aussi importantes, à des personnes qui n’ont pas connus les désagréments de leurs ainés, et qui possèdent de confortables résidences principales, souvent des résidences secondaires, et qui passent leur temps à voyager : c’est ça la solidarité.
La solidarité ce n’est surtout pas de donner des retraites décentes à des locataires qui touchent 400 euros par mois, qui en plus doivent aider leurs enfants et leurs petits enfants et qui en « profiteront » moins longtemps.
Pour les élections truqués, on en a eu un aperçu à paris, dans le 5eme arrondissement, puis en 2002 avec le coup d’état des médias, qui a permit la réélection du candidat de l’oligarchie. Sans oublier le vote collectif dans les maisons de retraites (ne dit-on pas qu’un candidat à été élus grâce aux voix des anciens).