Je suis d’accord avec l’auteur. Il y a une gauche bien-pensante assez ecoeurante de bêtise et d’incapacité à prévoir les problèmes.

Cette gauche a installé le libéralisme, l’europe et la liberalisation des flux financiers et de marchandises. Sans s’assurer un seul instant que le système tel qu’il est saurait contrôler et gérer ces fausse libertés, qui ne sont que les libertés de la finance, contre les libertés des peuples.

La gauche a aussi toujours eu une attitude incroyablement angélique envers les problemes de l’immigration. Sans doute poussée par des sentiments de culpabilité néo-coloniale et de solidarité avec les pays pauvres, elle a plutôt encouragé et justifié l’immigration sans jamais réfléchir un peu sérieusement aux problèmes posés par la vraie intégration de communautés étrangères nombreuses, et pas plus que pour les enfants de l’immigration.

Loin de moi l’idée de stigmatiser les immigrés, qui sont victimes de ces politiques comme les autres, et qui ont tendance à servir de boucs-émissaires à ceux-là même qui sont à l’origine des problèmes.

Ce que l’auteur oublie de dire, c’est que globalement, la droite à appliqué exactement la même politique dans tous ces domaines, bien que pour des raisons différentes.
Les motivation de la droite sont plutôt dans l’idée de construire une Europe forte pour faire contrepoids aux Etats-Unis, ainsi que de promouvoir un libéralisme à l’Américaine.

J’aimerais dire à l’auteur qu’une telle gabegie et de tels errements ne sont pas le produit du hasard. Pourquoi avoir construit un systeme Européen et mondial si discutable, si néfaste à terme, sans que personne n’y réfléchisse, ni ne pose les bonnes questions ?

La seule explication viable est que des réseaux financiers occultes et organisés ont constamment poussé au libéralisme, et donc à l’europe et à la mondialisation ultra-libérale. Ces réseaux ont en même temps placé leurs pions à l’intérieur des principaux partis politiques, empêchant toute remise en cause des politiques engagées, et se sont assurées le contrôle des médias, empêchant le débat public.

Croire que cette situation aujourd’hui, au 21eme siecle, avec nos connaissances et nos savoirs, serait simplement l’effet de mauvais choix relève d’une naiveté sans bornes.

Ca fait longtemps que j’ai vu venir les problèmes dénoncés par l’auteur. Mais tant que vous n’ouvrirez pas les yeux sur la réalité des évolutions et du complot politico-financier, vos belles réflexions ne concerneront que la surface des choses.