Article interessant bien que reprennant les dérives de langage quasi obsessionnelles de ceux qui sont surs de la vérité.
non666 : « Eux aussi, sont certains qu’il n’y a aucun rapport entre la maison blanche, la finance US et les attentats ! »
L’auteur l’explique parfaitement :
« C’est semble-t-il une tradition de la maison, puisque de très nombreux directeurs exécutifs ou généraux de la CIA ont occupé auparavant ou par la suite d’importantes fonctions dans des postes clés d’entreprises du monde de la finance. George H Bush, directeur de la CIA entre 1975 et 1976, est devenu par la suite consultant rémunéré pour le groupe Carlyle, classé au 11ème rang des plus grands investisseurs dans le secteur de la défense. John Deutsch, directeur de la CIA de 95 à 96, siège actuellement au conseil d’administration de Citigroup, deuxième banque de la nation. L’un des plus fameux d’entre eux, Bill Casey, directeur de campagne de Reagan en 1980, et directeur de la CIA sous le même de 81 à 87, a même présidé la SEC de 71 à 73. »
Sur le lien, en anglais, fourni vers le groupe Carlyle « classé au 11ème rang des plus grands investisseurs dans le secteur de la défense » (comprendre qui gagne de l’argent en vendant des armes de guerres), dans la partie « Anciens et actuels employés et consultants », que lit-on ?
http://en.wikipedia.org/wiki/Carlyle_Group#Notable_current_and_former_employees_and_advisors
Des anciens, présidents US (Bush pere et fils), président des Pilippines, premier ministre anglais (John Major), des secrétaires d états de différents pays, des présidents ou membres de multinationales de la finance ou de l’armement (Bombardier, Bundesbank), un ancien membre de la SEC.
Sur le même lien en francais : http://fr.wikipedia.org/wiki/Carlyle_group#Principaux_investisseurs_et_conseillers
nous retrouvons une partie des mêmes plus quelques bonus.
On note la présence d Olivier Sarkosy « qui copilote depuis avril 2008 l’activité mondiale de services financiers de Carlyle Group.
On note que : »Carlyle n’est pas coté en Bourse, et n’est donc non tenu de communiquer à la Securities and Exchange Commission (la commission américaine chargée de veiller à la régularité des opérations boursières) le nom des associés, des actionnaires, pas plus que le nombre de leurs parts respectives.«
On comprend que »with more than $84.5 billion of capital« , »52 milliards d’euros d’actifs « et un »portefeuille immobilier (qui) est estimé à 20,3 milliards d’euros", autant partager les bénéfices en famille.
On note aussi la coïncidence évoquée par wikipedia que je cite : « Le 11 septembre 2001, le jour de l’attaque terroriste contre le World Trade Center à New York et le Pentagone à Washington, Carlyle réunit dans cette même ville plusieurs centaines d’investisseurs liés au groupe. Parmi les invités figurent entre autres George H. W. Bush, 41e président des États-Unis et père du président George W. Bush, et Shafig Ben Laden, un demi-frère d’Oussama Ben Laden, l’homme à la tête d’Al-Qaida, la structure accusée de l’agression[9]. La proximité des noms Bush et Ben Laden en ce jour précis frappe les consciences[réf. nécessaire], et révèle Carlyle au grand public. »
La note [9] précise que : « La famille Ben Laden a publiquement démenti être en relation avec Oussama Ben Laden. »
Nous avons là, une preuve irréfutable de plus, de l’abscence de lien entre la politique, la finance et les industries de l’armement. Aucun conflit d’interêt.
L’auteur nous precisera si l’« investisseur institutionnel individuel sans le moindre lien avec Al Qaida (qui) a acheté 95 % des options de vente sur United Airlines le 6 septembre » a exercé ou non le droit de vente de ses options et ainsi réalisé la plus value associée. Et à quel date, et à quel prix il a revendu les 115000 actions. L’enquête de la SEC doit forcément l’avoir précisé dans son rapport.