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Commentaire de vergobret

sur Frédéric Lefebvre te dit en substance qu'on ne saurait accepter la pauvreté et t'invite à l'expulser manu militari


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vergobret 25 septembre 2010 17:16

Auteur, belle reprise à la volée

J’ai d’abord cru que c’était une photo de Karl Zéro en perruque.
Ce n’était qu’un discours de Goëbbels.

Quand les Vichystes essaient de rendre complice de leur forfaiture le peuple.
A force de copier Pétain ils finiront comme Musso.
Finir à l’envers ne serait d’ailleurs qu’un juste châtiment pour ceux qui font les poches de la constitution, c’est une très vielle dame.

On remarque que je ne le compare pas à Brasillach, ce serait comparer Zemmour à Goëth, ou comme lu dans le coin, à Céline...

Pauvre Lefebvre, il a du mal a articuler sa pensée, et plus encore, à articuler tout court, faudrait pas lui demander de composer, en plus...
Mon pauvre Monsieur Lefebvre, il faut changer de métier, quand on sait pas prendre la parole, faut pas essayer de la porter...

Dans la mesure où les démantèlements sont illégaux quand ils ne sont pas soumis au droit, ce serait rendre complice le peuple d’une action illégale. C’est inciter aussi les gens à transgresser (ou les aider à) ce droit, du moins la partie gênante.

Certes, ainsi que le déclare sur Erp1 Mr Mélanchon, Mr Sarkosy n’est pas un nazi.
Il n’ en reste pas moins qu’il permet très visiblement l’émergence de leurs théories sociales et politiques, dont l’eugénisme, l’état policier et la fabrication de l’ennemi intérieur en sont les caractéristiques. Là, c’est Todd qui a raison, pas Dugué.

Question, qui a dit « C’est par la voie légale que ns devons entrer au gouvernement, avant de le mettre en pièce »  ?
et,
« Nous vivons une époque troublée, la constitution ne pouvait pas le prévoir, la démocratie est attaquée ; certains droits civiques devront être suspendus si nous voulons la voir survivre (!).
Désormais, toute la législation sera entre les mains du gouvernement » ?

Indice, La seconde phrase fait partie d’un discours prononcé au parlement le lendemain de l’incendie du Reichtag, en présence du chancellier d’alors, Hidennburg.
Si, si, c’était pas Sarkosy, vous vous étiez trompé ?
Merci


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