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Commentaire de steban

sur La retraite à 62 ans n'est pas inéluctable, monsieur le Président, à vous de jouer !


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steban steban 26 septembre 2010 00:52

Le travail est pénible si tout les soirs on se couche avec un litre de pinard et un plat de pâte.
Le travail est pénible si je commence à penser à ma retraite
Le travail est pénible si j’aime fréquenter que des personnes qui dépriment.
Le travail est pénible si je commence à envier le salaire de mon patron.
Le travail est pénible si je me laisse aller à un boulot que je n’ai pas réellement choisi.
Le travail est pénible si je ne suis pas attentif aux postures habituelles inconfortables.
......

Beaucoup d’éléments dont nous sommes responsables, rendent notre existence inconsciente très inconfortable...

La vie est pénible ou plutôt d’un ennui profond, si Je m’avoue vaincu sans jamais avoir entamé une bataille envers tout ce qui entrave mes décisions, et cela, ce n’est pas le président qui changera tout par un coup de baguette magique...
 
Il y a des personnes qui sont passés de l’extrême pauvreté à une richesse phénoménale....
C’est dû à quoi vous croyez ? A la fictive chance ?
Il y a chez les gens qui réussissent, quelque soit leur domaine, avec un culot, une détermination, qui fait que rien ne peut les empêcher d’aller jusqu’au bout de leur rêve.
(pensez un peu à Phillipe Croizon, amputé des 4 membres qui à traversé la Manche ... n’est ce pas formidable ? magique ?)

Mais quand il n’y a plus de rêve, et qu’on se suffit à y perdre haleine à juste vivre la répétition de bons repas rondouillards ...
Sans vouloir généraliser, et pourtant je suis bien tenté... il y a trop d’individu dit riches ou pauvres, qui ne vivent que pour des plaisirs répétitifs et l’oisiveté .
Et c’est ça qui plonge l’avenir de notre monde dans la décrépitude.

Les vrais injustices ne sont pas dans cette foutue pénibilité au travail, mais dans tout ce qu’on accepte comme étant normal et « pas si grave », (qu’on a du mal à regarder en face et qui met en branle ce qui nous gras-tifie) qui continue de huiler les rouages gluant d’une machinerie imbécile refusant toute créativité.


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