Des spécialistes expérimentés ont conclu dans un bel ensemble, après l’analyse des éléments, qu’il y avait tout lieu de penser à un délit d’initiés.
Mooréa, qsimple ingenieur en bâtiment, mène un combat d’arrière-garde, s’appuyant sur une vague photocopie d’un rapport de la SEC, alors que les autres sources ont été détruites. Son seul argument est la présence d’un mouvement de « call options » sur les actions d’AMR un peu avant.
Quelle preuve a-t-on que ces chiffres n’ont pas été trafiqués ?
"Sur les 2282 puts AMR achetées le 10 septembre, 1/3 était dû à une note
d’information rédigée par Steve Sarnoff, éditeur de « Options Hotline »,«
Les rapports post 11 Septembre parlent de »
Le 10 septembre, la veille des attentats, ce sont 4516 options de vente
d’actions American Airlines qui sont acquises contre 748 options
d’achat". Pourquoi sont-ils devenus 2282 ?
Quel fiabilité a-t-on sur les faits annoncés ? Le FBI qui a forcement supervisé l’enquête de la SEC de très près (s’il ne l’a pas fait à sa place) a pu les trafiquer comme il voulait. La SEC n’est pas un organisme au-dessus de tout soupçon. Sa passivité dans l’affaire Madoff en est une preuve. Elle est mêlée à de drôles d’affaires, comme celle-ci.
L’histoire des dizaines de bonhommes qui se précipitent dans un bel ensemble le 10 Septembre pour constituer le pic d’achat du 10 Septembre, après avoir reçu la lettre le 9, est pour le moins bizarre. Ca ressemble à une tentative de désinformation, dont le FBI a l’habitude.
De toute façon, ca n’explique pas tout le reste, y compris les ordinateurs qui tournaient en boucle le matin du 11 au WTC pour passer des ordres concernant les même délits d’initiés.