@ moebius (du 28 à 21 h 55)
Je vous rappelle que c’est de la violence RELIGIEUSE qu’il s’agit
ici.
S’il n’y a pas de »procédure à suivre pour y échapper" il="il" y="y" a="a" un="un" processus="processus" logique="logique" son="son">
- l’homme ressent un besoin de dieu
- il l’imagine et l’invente à son image
- il le fait donc violent et, même, appelant l’homme à commettre
des violences
- il sacralise ces appels qu’il prétend être »de Dieu">
- il dogmatise, même, ces appels à commettre des violences
- des théologiens fous (cultivant en eux la violence) pérénisent
ces appels à la violence et leur sacralisation (leur attribution à Dieu)
- certains de ces théologiens fous deviennent pape, ce qui me fait
dire qu’ils sont alors plus responsables que d’autres
Mais la pérénisation ETERNELLE de ce processus d’élaboration de la
violence religieuse n’est NULLEMENT FATALE, je le répète avec insistance.
Rien,
pas même la croyance en un Dieu unique - et SURTOUT PAS la croyance dans le
Dieu du prophète juif Jésus - n’oblige à vouloir que la violence religieuse
dure éternellement.
RIEN n’oblige à croire éternellement que ceux qui ont attribué à
leur Dieu une VOLONTE DE VIOLENCE ont eu raison de le faire.
Les croyants peuvent parfaitement continuer de croire et de se
réunir dans une religion EN SE DEBARRASSANT DE LA CONCEPTION VIOLENTE DU DIEU
AUQUEL ILS CROIENT.
Ils peuvent parfaitement exiger de leurs religions respectives qu’elles se débarrassent de leurs croyances criminogènes EN CONSERVANT celles qui ne le sont pas.