@Helios,
"Mais partir de Marseille pour se rendre a Strasbourg, par exemple, c’est
mieux 350 que 220, je pense que vous el comprenez bien. les lignes LGV,
c’est bien cela, hein ?«
Il y a la vision à partir des aspects particuliers et la vision à partir du global. Les deux sont intimement liés mais le bonheur de quelques uns ne doit pas faire le malheur du plus grand nombre. On peut partir d’un contexte financier, social et environnemental qui laisserait la possibilité d’investir à l’infini. Dans un contexte de limites, il faut faire des choix pertinents qui permettent de satisfaire le maximum de besoins de manière la plus économique possible.
C’est dans ce contexte que se comprend la notion de vitesse maximale utile.
»Venons en a la technologie... oui, la
technologie est au service de l’homme, tout le monde est d’accord, mais
cela ne veut pas dire que l’homme doit se raidir sur son comportement et
refuser toutes souplesse et ne doit pas s’organiser pour « faire avec »
ce que les ingenieurs savent nous developper. Il n’y a pas que des
technologies contraignantes il y a aussi des technologies qui ont
radicalement changé nos comportements en bien mieux qu’avant.«
La technologie n’est pas systématiquement au service de l’homme. Tout développement technologique entraine des impacts humains dont certains ne sont pas positifs. C’est avec l’expérience qui l’on mesure les effets d’un »progrès« technologique. D’où l’intérêt après 40 années de développement du TGV de se poser des questions sur les impacts de ce »progrès" technologique et des limites de sa généralisation.