Le seul passage de ce très mauvais article où est évoqué ce passif de violences conjugales est celui-ci :
Quand la mère de Marie Trintignant, Nadine, a déclaré que la vedette rock avait des antécédents de violence à l’égard des femmes,(5) on ne s’est pas étendu sur cette question, pourtant très sérieuse, et on n’a pas cherché, sauf erreur, à vérifier cette accusation que le chanteur a niée. Une journaliste pigiste, qui a interviewé Bertrand Cantat il y a quelques années, dit l’avoir rencontré depuis à quelques reprises, notamment en Hongrie où il se rendait souvent à l’époque où il était amoureux d’une Hongroise francophone. « D’après les reportages dans la presse française, écrit-elle, après la naissance de leur deuxième enfant, Bertrand Cantat l’a abandonnée en février dernier pour vivre une passion tumultueuse avec Marie Trintignant. »
Il me semble que l’accusation lancée par une mère meutrie d’avoir perdu sa fille ne soit pas une source très fiable. Le deuxième élément à la charge de Cantat, c’est l’abandon de sa Hongroise, ce qui n’est pas une violence !
P.S. Je ne cherche pas à vous contredire, simplement à savoir si oui ou non Cantat était violent avant le drame. La question est de savoir si son acharnement sur la victime trouve sa source dans un pétage de plombs exceptionnel ou si le bonhomme était coutumier du fait.