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Commentaire de morice

sur L'homme qui rétrécit


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morice morice 21 octobre 2010 11:25

Les articles attaquant les adversaires politiques sur le physique sont toujours d’une stupidité sans pareil.


et encore je n’ai pas dit qu’il était catho..

j’aurais pu : car comme vous, il déteste la jeunesse. Votre texte sur les manifestants est une insulte à a la jeunesse, et j’espère bien qu’ils ne vont pas vous rater désormais, les lecteurs dont vous vous moquez avec votre dédain manifeste pour ce que vous n’avez jamais été et ne serez jamais : votre Christ est présenté comme un révolutionnaire, et vous n’êtes qu’un pantouflard : même votre idole, vous la trahissez avec votre attitude de vieux REAC. Pouah !

Normal chez lui : son père a gâché la sienne.... qu’on nous reparle des Croix fléchées, tiens..

http://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_des_Croix_fléchées

la croix, toujours la croix, Watremez.. Celle-là elle sent fort mauvais aussi. 
« Le Parti des Croix fléchées (en hongrois : Nyilaskeresztes Part Hungarista Mozgalom) est un parti politique hongrois fasciste, pro-germanique, antisémite, dirigé par Ferenc Szálasi, qui gouverna leRoyaume de Hongrie du 15 octobre 1944 à la fin mars 1945. Les Croix fléchées soutinrent de tout temps Hitler, jusqu’en octobre 1944 où celui-ci, perdant son influence sur le régent Horthy, leur permit de prendre le pouvoir, établissant un éphémère »Gouvernement d’unité nationale« . Pendant l’occupation de Budapest par l’Armée rouge, ils sont traqués et jugés par des tribunaux de fortunes, comme leur homologues un peu partout en Europe.

Après la fin de la guerre, Szálasi et d’autres dirigeants des Croix fléchées ont été jugés en tant que criminels de guerre par les tribunaux hongrois. »


La Hongrie, le seul pays où le nazisme a été... religieux.


L’idéologie du parti est similaire à celle des nationaux-socialistes : nationalisme, promotion de l’agriculture, anti-capitalisme et anti-communisme, et antisémitisme profond. Elle souscrit également à l’idée d’une race supérieure qui, selon les vues de Szálasi, inclurait les Hongrois, les Allemands et les Japonais, et à une conception de l’ordre basée sur le droit du plus fort - Ce que Szálasi appellera « réalisme étatique brutal ». Les Croix Fléchées professaient un « co-nationalisme » fondé sur la coexistence pacifique des affirmations nationales cote à cote.


réfléchissez, au lieu de venir vous venger, Watremez.
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