Ah, merci Olivier pour cette recette. J’en avais une qui s’en approchait, mais avec du f* gr* que je faisais légèrement rissoler, — et hop !, en terrine et au frigo. Mais je vous promets de l’essayer avec de la volaille fermière, avec un peu de poivre et des fines herbes (aneth, ciboulette). Et un peu de vin jaune, pourquoi pas ? Quant au lit de cèpes, je le réserve pour le maigret de canard qui suivra le foie selon votre recette.
Ces deux-trois dernières années, en région parisienne, nous n’avons eu que très peu, voire pas du tout de cèpes sur les marchés. Mais cette année, il y en a eu, et j’en ai fait des provisions pour l’année à venir, je les ai cuisinés — et hop !, au congélo. Quand je vivais « à la campagne », il m’arrivait de ramasser des dizaines de kilos de cèpes. N’ayant pas de congélo, je le mettais à sécher en lamelles sur des claies. Cela faisait la joie des tous mes voisins et amis.
Quant aux « trompeuses trompettes », il est pourtant difficile de les confondre avec d’autres champignons. Une des meilleures utilisations que j’ai pu en faire, c’était de les mettre dans les terrines de lapin. Un peit goût sauvage très agréable.
Dommage qu’on ne trouve plus sur nos marchés des oronges, les fameuses amanites des Césars. Je n’en ai trouvé que quelques unes dans ma vie. Le prix doit maintenant être prohibitif, réservé à ceux qui ont un salaire de footballeur.
Mycologiquement vôtre
R@R